Saviez-vous qu’il était possible de suivre (« tracker ») le parcours du Père Noël (Santa Claus pour les anglo-saxons), en direct, lors de la nuit du 24 au 25 décembre ? Et ceci depuis 1955 ! Simple amusement en Europe, c’est une véritable institution aux Etats-Unis, qui fait notamment intervenir… la défense aérospatiale !
En 1955, dans un journal local, apparaît une petite publicité pour le magasin « Sears » du Colorado. Celle-ci donne le numéro « des lutins qui suivent le Père Noël », afin de les appeler et ainsi suivre son parcours.
Cependant, une erreur s’est glissée dans le numéro de téléphone. Celui-ci devient celui d’un concurrent ? D’un anonyme ? D’une star de cinéma ? Et non, bien plus « drôle » : c’est le numéro du « Commandement de la Défense Aérospatiale de l’Amérique du Nord » (la NORAD) qui apparaît dans ce petit journal local !
Le colonel en poste le soir du réveillon (Harry Shoup) se retrouve avec des milliers d’appels d’enfants à gérer. Mais « esprit de Noël » oblige : il ordonne à son personnel de jouer le jeu. L’armée se retrouve donc à donner des informations aux enfants : le Père Noël se trouve maintenant à tel endroit, il a un peu de retard, nous l’escortons actuellement…
Dès lors, un service est créé à la NORAD chaque année pour gérer ces appels provenant des enfants américains mais aussi, maintenant, du monde entier.
Chaque année, la NORAD reçoit plus de 15 000 e-mails et 60 000 appels. Notamment grâce à une équipe de bénévoles. Michelle Obama a, par exemple, répondu aux appels des enfants de 2009 à 2012.
Depuis 2004, Google participe à l’événement. Effectivement, il est possible de suivre le parcours du Père Noël via Google Earth.
De 2004 à 2009, il était donc possible de suivre le Père Noël via Google Earth. En 2011, la NORAD participe au développement du « Google Santa Tracker » avec Google. Cependant, un 2012, la NORAD abandonne Google pour Microsoft et la création du « NORAD Santa Tracker« .
Il est donc possible de suivre le Père Noël sur ces deux plate-formes. La différence entre les deux est un style plus épuré (style Flat Design) pour Google et un style plus « réaliste » pour Microsoft.
Cette année, Google propose même un calendrier de l’Avent, qui permet à chacun d’apprendre simplement à coder.
De nos jours, les réseaux sociaux permettent bien sûr d’amplifier le phénomène davantage.
Quoi de mieux en cette période de Noël, que de vous partager des Instagram qui vont vous en mettre plein les yeux ?
N’hésitez donc pas à consulter tous ces Instagram, qui vont vous donner des idées pour Noël. Que ce soit pour votre décoration d’intérieur, d’extérieur ou pour juste partager le bonheur des fêtes !
Sans oublier que nous aussi sommes présents sur Instagram !
L’incontournable Instagram du vrai Père Noël. Passage obligé pour consulter ses préparatifs ! En plus, il vous montre de jolis décorations d’intérieur et d’extérieur. En tout cas, nous on est fan !
Partagez vos photos et recettes avec Cuisine Actuelle, pour des plats plein de fêtes ! Découvrez alors des idées pour vos repas de fin d’année. En plus, des vidéos sont présentes pour vous aider.
L’inévitable Marché de Noël d’Amiens. 2 kilomètres de féerie à découvrir en famille… Mais aussi ses chalets, sa grande roue, sa patinoire…
Cet Instagram va embellir le cadre de votre vie ! Avec une fabrication sur-mesure de cadres, magnets, toiles… Vous trouverez forcément ce qu’il vous faut. Désormais construisez votre décoration tout seul.
Joli Instagram qui partage ses coups de cœur, pour vous en mettre plein les yeux. Vivez alors déjà au rythme de Noël !
Une décoration d’intérieur avec une ambiance chaleureuse pour le bien-être de chez vous. Des bougies partout !
Plusieurs photos de Noël, d’une maman d’Amiens, qui vont vous faire voyager, d’une part dans son monde mais aussi en Picardie.
Que la flamme de leurs bougies vous réchauffe le cœur pendant cette période de Noël. A faire seul, mais aussi pour pas cher. Super idée de déco !
La beauté des centres commerciaux décorés pour Noël ! Des lumières plein les yeux pour vos dernières achats.
Un expert de la décoration de tables : pour anniversaires, événements divers, mais aussi… Noël !
Et quant à vous, envie de vous lancer ? Contactez-nous.
Lorsque vous commencez pour la première fois une campagne de référencement, ou de webmarketing, vous vous retrouvez face à plusieurs acronymes : SEM, SEO, SEA, SMO… Il n’est pas simple de s’y retrouver dans ces différentes techniques proches mais cependant éloignées. Il y a un point commun dans ces techniques : SE, pour Search Engine ou Moteur de Recherche (Google, Bing, Qwant…) en français.
Le SEA est une technique pour amener des visiteurs sur votre site, via la publicité. Celles-ci peuvent être, par exemple :
Il existe ensuite différentes méthodes comme le CPC (Coût Par Clic, vous payez quand un visiteur arrive sur votre site) ou le CPM (Coût Pour Mille, vous payez tous les mille affichages de votre publicité). Puis chacune des méthodes fonctionne par un système d’enchère : plus vous payez par rapport à vos concurrents, plus votre site sera visible.
L’avantage du SEA est qu’il donne des résultats rapidement visible, mais si vous l’arrêtez, votre taux de visite va descendre en flèche.
Si le SEA peut se rapprocher du marketing traditionnel (cela ne reste que des publicités que l’on paie pour être visible), le SEO n’est dédié qu’à internet. Avec le SEO, nous recherchons à faire remonter votre site dans les premières pages des moteurs de recherche.
Comment cela fonctionne ? Difficile à dire sans être trop technique, mais c’est un ensemble de méthodes pour « plaire » à l’algorithme de google. En plus celui-ci évolue constamment… Il y aurait plus de 2000 critères ! On peut cependant en retenir quelques-uns:
Et oui, « spammer » un mot-clef sur une page (en blanc sur fond blanc…) ne fonctionne plus, bien au contraire, cela peut vous faire descendre !
L’avantage du SEO est qu’il est durable, une fois que vous êtes dans les premiers résultats, vous y restez. Cependant, cela peut prendre du temps en fonction de vos concurrents.
Encore trop souvent délaissé, le SMO est votre présence sur les réseaux sociaux. Attention, il ne suffit pas d’avoir une page Facebook et de la laisser à l’abandon : il faut aussi la rendre active, en postant régulièrement et en répondant aux messages. En moyenne, il est bon d’être présent sur deux réseaux sociaux avec une activité régulière.
Le SEM signifie, littéralement, le marketing sur les moteurs de recherche. Ce qui peut se simplifier par : le référencement. C’est donc le regroupement de toutes les autres techniques que nous venons de voir. Nous vous aidons à mettre en place vos campagnes de webmarketing, dans notre section dédiée.
Littéralement, le « Growth Hacking » signifie « piratage de croissance », cependant cela n’a rien à voir avec des techniques de malversation. Au contraire, il fait partie du marketing moderne en allant beaucoup plus loin. En rejetant la prospection agressive du marketing, il cherche à plaire aux clients avant de rechercher le bénéfice.
En 2010, son créateur, Sean Ellis, souhaitait mettre à profit ses compétences en informatique au service du marketing. Un bon « Growth Hacker » doit alors être compétent dans plusieurs domaines :
Le « Growth Hacking » est donc un ensemble de plusieurs techniques issues de différents univers, afin de mieux s’adapter à l’évolution d’internet.
Le « Growth Hacking » tourne autour d’un système de tunnel : la matrice AARRR. Celle-ci se décompose en 5 étapes :
Aucune de ces étapes ne doit être mise de côté, chacune est indispensable à la suivante.
Voici quelques exemples connus, vous pouvez vous en inspirer pour lancer une entreprise (ils ont tous commencé avec peu de budget) :
Ils ne vous restent plus qu’à vous lancer !
Google Maps est un service cartographique en ligne créé par Google. Lancé aux États-Unis en 2004, il arrive en France en 2006 et est disponible sur ordinateur, smartphone, tablette…
Google Maps est donc une carte sur laquelle vous pouvez zoomer ou dézoomer en fonction de l’échelle désirée : rue, ville, pays…
Il indique aussi votre position et peut vous servir de GPS, il vous estime vos temps de trajet en fonction du moyen de transport, puis vous indique le chemin à suivre au fur et à mesure.
Les professionnels peuvent choisir de se référencer sur Google Maps. Prenons l’exemple d’une agence immobilière appelée « Maison pour Vous » situé à Amiens, ou non, Villers-Bretonneux. Oui c’est bien Villers-Bretonneux. Centenaire de la Grande Guerre, tout ça, tout ça… Va pour Villers-Bretonneux. L’agence immobilière veut donc ouvrir son agence à Villers-Bretonneux. Elle va se référencer sur Google Map, si quelqu’un tape sur Google « Agence immobilière Villers-Bretonneux » elle apparaîtra dans les résultats du moteur de recherche. Google indiquera précisément où l’agence se trouve sur la carte. Cependant, elle n’est pas certaine d’être vue dans les premiers résultats.
Autre exemple, vous chercher une agence immobilière via votre smartphone. Vous tapez donc « Agence immobilière » sur votre application Google. Google repère que vous vous situez à Amiens, Villers-Bretonneux ou tout autre ville des alentours. Les premiers résultats affichés sur l’écran de votre smartphone seront ceux de Google Maps. Ces résultats seront en partie aléatoire mais pas seulement ! En effet, Google Maps affichera les résultats en fonction de votre géolocalisation, si le site de l’agence est régulièrement mis à jour et enfin si les avis Google sont bons.
Maîtriser Google Maps est donc essentiel quand on est un professionnel, pour pouvoir être trouvé facilement par tous.
Un réseau social est un site internet qui permet à un utilisateur de créer une page « profil ». Il peut ainsi facilement partager des informations, photos ou vidéos avec les personnes de son choix.
Il existe différents types de réseaux sociaux :
Certains réseaux sont « multitâches ». Prenons l’exemple de Facebook. Il peut être utilisé à des fins privées, pour rester en contact avec ses amis et sa famille, comme à des fins professionnelles. En effet, selon le rapport « State of Inbound » de Hubspot : 74 % des utilisateurs Facebook l’utilisent à des fins professionnelles.
Le métier de Community Manager est né dans ce besoin qu’ont les entreprises de suivre ce progrès dans la communication. Le Community Manager est un véritable ambassadeur de la marque, il gère les réseaux sociaux de l’entreprise en ajoutant du contenu et en répondant aux différents commentaires ou messages. Par exemple, un utilisateur qui vient signaler sur le site l’achat d’un objet défectueux, obtiendra une réponse du Community Manager qui apportera une solution auprès du client et fera remonter les remarques auprès de la société.
Ce métier tout nouveau est de plus en plus répandu et continue à se développer.