Pour commencer, Vinton Cerf est un informaticien et ingénieur américain connu pour être l’un des « pères de l’Internet ». En collaboration avec Robert Kahn, Cerf a développé le protocole de transmission de données TCP/IP. Qui est à la base de la communication sur Internet.
De plus, Cerf est né en 1943 à New Haven, dans le Connecticut. Il a étudié l’informatique et la philosophie à l’Université Stanford, où il a obtenu son bachelor en 1965. Après avoir obtenu son doctorat en informatique à l’Université UCLA en 1972. Il a rejoint l’agence de recherche en défense ARPA, où il a travaillé sur le développement de l’Internet.
Aussi, en 1973, Cerf et Kahn ont commencé à travailler sur le développement de TCP/IP. Qui est devenu le protocole de communication standard sur Internet. Leur travail a permis de créer une infrastructure de communication capable de relier des ordinateurs situés dans des réseaux différents. Permettant ainsi la création de ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom d’Internet.
Ensuite, Cerf a continué à travailler sur le développement et l’amélioration de l’Internet. En 2005, il est nommé vice-président et chief Internet evangelist pour Google. Où il a travaillé sur l’expansion de l’accès à Internet dans le monde entier.
Deuxièmement, en plus de son travail sur l’Internet, Cerf s’implique dans de nombreux projets et initiatives liés à l’informatique ou à la technologie.
Mais aussi, il a été membre de nombreuses organisations et comités de direction, notamment l’Internet Society, le Computer Science and Telecommunications Board et le Advanced Research Projects Agency.
D’ailleurs, Cerf a reçu de nombreux prix et distinctions pour son travail, y compris le National Medal of Technology, le Presidential Medal of Freedom et le Prix Turing. En 2004, il a été élu Fellow de l’Institut national d’arts et de sciences, et en 2017, il a été intronisé au National Inventors Hall of Fame.
En résumé, Vint Cerf est un informaticien et ingénieur de renom connu pour avoir contribué de manière significative au développement de l’Internet. Sa collaboration avec Robert Kahn a permis la création d’un protocole de communication standard qui a joué un rôle crucial dans la création de l’Internet tel que nous le connaissons aujourd’hui.
Vous pouvez découvrir notre article sur le fondateur du web, Tim Berners Lee.
L’ergonomie web est un des points clefs les plus importants en matière de navigation, mais aussi en terme de référencement. Google la prenant en compte notamment pour le positionnement sur les moteurs de recherche. Comment mettre en place les bonnes pratiques ?
Chaque jour, nous utilisons des objets qui facilite notre quotidien. L’ergonomie a pour objectif d’adapter ces objets à l’Homme. Depuis l’avènement des nouvelles technologies, cette discipline a dû s’adapter à Internet, notamment avec l’utilisation des sites web.
Désormais, elle s’inscrit dans le cadre de la création de sites web. En effet, lors de leur conception, il est essentiel de faciliter l’interaction entre l’homme et l’interface. Dans un premier temps du côté du créateur du site mais également des utilisateurs (les internautes) qui vont le consulter.
L’ergonomie web représente donc l’ensemble des aspects de l’interface en question permettant une utilisation efficace, agréable et facile. L’objectif de l’ergonomie web est tout simplement de faciliter l’interaction entre le site web et l’utilisateur.
L’ergonomie est une étape indispensable concernant le bon fonctionnement d’un site web. De plus, si les règles ergonomiques de bases ne sont pas respectées, alors le site web possèdera une mauvaise ergonomie car il ne répondra pas aux attentes des utilisateurs. Un site web se doit également d’être utile, afin de répondre aux besoins des utilisateurs. Néanmoins, cela ne suffit pas à rendre le site ergonomique. Par exemple, une fois l’utilisateur sur le site il est important qu’il trouve facilement ce qu’il recherche et ne quitte pas le site. On parle alors d’utilisabilité, elle se caractérise par l’aptitude d’un objet ou d’un site ici à être utilisé facilement par l’utilisateur.
Tout d’abord, il est important d’optimiser son site d’un point de vue technique. Il est recommandé de respecter dans un premier temps les règles universelles pour une ergonomie web optimale. Ensuite, les trois aspects qui peuvent améliorer directement l’ergonomie de votre site web sont : la vitesse de chargement, l’accessibilité et enfin le responsive.
La vitesse de chargement joue énormément sur l’utilisabilité d’une interface. Si un site web met du temps à charger, il a des chances de décourager facilement les internautes.
L’accessibilité permet elle aussi d’améliorer facilement un site web. Pour une bonne ergonomie, un site se doit d’être accessible sur un maximum de navigateurs. Il est important d’éviter le plus possible les bugs. Il est également nécessaire de concevoir des pages adaptées pour les personnes en situation de handicap.
Enfin, le responsive est le fait de concevoir un design de site adapté pour les téléphones mobiles et tablettes. De plus en plus de personnes naviguent sur internet à l’aide de leurs téléphones. Si votre site web n’est pas adapté pour les smartphones, alors vous risquez de passer à côté de potentiels clients.
Vous pouvez aussi télécharger notre Livre Blanc de l’ergonomie web.
Google est avant tout l’oeuvre de deux étudiants de Californie : Sergueï Brin et Larry Page alors âgés de 23 ans. Ils pensent qu’un moteur de recherche qui analyserait le nombre de relation entre les sites web seraient plus efficace que ceux existant à l’époque (Alta Vista, Yahoo…).
Pourquoi choisir cette méthode plutôt que l’ancienne ? Afin d’avoir des informations vérifiables et donc plus sûres.
Depuis Google a bien grandi : il est le premier moteur de recherche (plus de 90%) sur internet, pèse 600 milliards de dollars et compte plus 50 000 employés.
Vous allez tous sur Google Image pour voir des photos de chatons trop mignons. On vous connait, on fait pareil !
Cependant à la base Google Image n’a pas été créé pour une histoire de chats mais bel et bien de… seins. En effet, en 2000 Jennifer Lopez se rend à la cérémonie des Grammy Awards habillée d’une robe verte au décolleté vertigineux. Les recherches Google explosent alors : « Les gens voulaient plus que du texte. C’était la recherche la plus populaire que nous n’ayons jamais vue. Mais on avait aucun moyen de donner aux utilisateurs exactement ce qu’ils voulaient : J.Lo dans cette robe. »
En Juillet 2001, Google Image était né, afin de faciliter la consultation de photos.
Elle permet à ses employés de développer leurs idées personnelles, en leur accordant leurs moyens techniques et 50% de leur temps de travail.
C’est comme cela que sont nés des outils comme :
Google a racheté des sociétés qui lui ont permis d’améliorer son moteur de recherche et sa place dominante sur internet.
L’investissement le plus connu est en 2006, avec le rachat de YouTube, plus gros service de partage de vidéo en ligne, pour 1,65 milliard de dollars.
Maintenant, Google est présent dans les secteurs médicaux, des transports (les voitures autonomes) ou encore dans la conquête de l’espace !
Suite à l’évolution du COVID-19, le télétravail devient nettement plus présent dans notre quotidien. Face à cette crise, de nombreuses propositions / arnaques prolifèrent sur internet profitant de cette urgence.
C’est pourquoi nous vous proposons une liste d’outils gratuits pour vous permettre de continuer d’être productif. Ces outils sont gratuits pour un usage commun, par exemple pour une équipe de 6 personnes. Cependant, pour des plus grands projets, ces outils peuvent être payants, mais jamais à des prix excessifs.
Ces outils ne demandent qu’une connexion internet et sont même souvent déjà possédés par la plupart des personnes. Qui n’en connaissent pas toutes les possibilités. Ils sont en plus accessibles sur les ordinateurs mais aussi sur les smartphones.
A distance, il peut être plus difficile de communiquer sur l’avancement d’un projet quand nous ne possédons pas les bons outils. Voici donc de quoi vous rapprocher de vos collaborateurs.
Trello est un outil de gestion de projets puissant est simple à prendre en main. Via un système de tableaux, vous allez pouvoir créer des colonnes et y insérer vos tâches.
Pratique pour visualiser où en est votre projet, il est aussi collaboratif et accessible en ligne. Chacun des collaborateurs peut intervenir dessus en temps réel.
Pratique pour gérer son emploi du temps personnel. Il est bien plus puissant que cela ! Vous pouvez facilement déplacer par « drag and drop » des rendez-vous, les dupliquer, les répéter…
De plus, il vous permet d’afficher l’agenda (professionnel et/ou privé) de vos collaborateurs. Ceci avec un système d’autorisation. Admettons que votre collègue souhaite vous inviter à une visioconférence. Si vous êtes déjà occupé, Google Agenda lui indiquera soit simplement que vous êtes occupé ou bien lui indiquera votre tâche pendant ce créneau.
Ces autorisations sont modulables. C’est à dire que votre manager peut avoir les mêmes autorisations que vous ou non, voir même de déplacer ou de vous créer des événements sur votre agenda.
S’il est difficile d’envoyer des fichiers volumineux par e-mail c’est pour plusieurs raisons : ce n’est pas pratique, cela pollue à cause du stockage, cela sature l’envoi et la réception… C’est pourquoi il existe d’autres solutions.
Besoin d’envoyer une vidéo de 300Mo, un.psd de 600Mo… à un collègue ? Voici la solution : Wetransfer. Vous ajoutez votre fichier, l’adresse du destinataire et un message. Puis le tour est joué !
Même utilisation que Wetrasnfer. Cependant, avec Google Drive vous allez pouvoir partager des fichiers en gérant les autorisations : en lecture et écriture
L’intérêt ? Imaginez que vous êtes trois personnes chargées de la compatibilités d’une entreprise. Vous allez pouvoir collaborer en temps réel sur un tableur. Vous allez pouvoir voir en direct les chiffres que rentrent vos collègues sur le même tableau style Excel.
Puis si votre manager souhaite uniquement consulter ces chiffres. Il le pourra sans crainte de tout effacer.
La visioconférence devient indispensable pour des réunions ou pour donner des cours à des étudiants.
Skype est le connu des logiciels de visioconférence, nous ne le présenterons donc pas. Cependant, au-delà de deux personnes en visioconférence, il devient payant.
Discord est incontournable auprès de la communauté des joueurs. Ce n’est pas pour autant (et même au contraire) qu’il doit être délaissé par le milieu professionnel.
Si vous êtes intervenants auprès d’étudiants, vous pouvez être sûrs qu’ils possèdent déjà un compte dessus. Ils pourront même vous aider à vous y faire la main, contrairement à des outils comme Teams ou Skype qui sont abandonnés par les plus jeunes.
Slack va vous permettre de réunir les autres outils en un : partage de fichiers avec Google Drive, gestion de planning, réunion en visioconférence…
Cependant, cela veut bien entendu dire qu’il faut multiplier la création de comptes et peut en déstabiliser certains.
Un soucis ? Contactez-nous par e-mail pour faciliter votre passage au télétravail. Il s’agit de s’entraider et sans facturer !
Cet article, a pour but de vous présenter le métier de consultant SEO. Qu’est-ce qu’un consultant SEO ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire moyen ?
Posséder un site internet est déjà un très bon pas en avant dans sa communication. Toute entreprise (marchande ou non) se doit d’être présente sur internet afin d’exister.
Les moteurs de recherche, comme Google, référenceront rapidement votre site internet. Néanmoins, il y a de fortes chances que votre site soit classé dans des pages qui ne seront jamais consultées. Plus de 90% des utilisateurs s’arrêtent à la première page de résultats.
C’est ici qu’intervient le consultant SEO : il vous permet de monter rapidement dans les premiers résultats de Google. Cela vous facilite donc amplement la recherche de clients : ils viennent directement à vous.
Effectivement, le démarchage téléphonique, le porte-à-porte ou les prospectus sont des méthodes à proscrire. Les potentiels clients détestent être importunés, ils préfèrent faire une recherche par eux-mêmes, afin de gagner en confiance.
RTL et Bloctel, les conseils pour éviter les appels intempestifs
Le consultant SEO est à mi-chemin entre un expert en marketing et un expert en développement web. Il doit aussi avoir une petite fibre littéraire (ou tout du moins, ne pas faire de fautes en orthographe).
Google cherche à proposer du contenu de qualité dans ses premières pages de résultats, afin que l’utilisateur est une bonne expérience pendant sa navigation.
Voici que quelques exemples des 200 critères (minimum) que recherchent Google pour classer un site.
On estime qu’un expert en SEO connaît un maximum de 120 critères, les critères restants ne sont connus que par l’IA de Google. Cette dernière étant en constante évolution, le consultant SEO doit donc s’adapter et se remettre à niveau très régulièrement.
Le consultant SEO a donc pour mission d’optimiser votre site internet pour correspondre aux standards de Google. Ceci afin de proposer aux utilisateurs une bonne expérience sur internet. A l’opposé donc des démarchages intempestifs ou des sites internet illisibles.
Le consultant SEO est généralement en Freelance. En début de carrière, il peut ainsi gagner entre 1 600 et 2 100 euros par mois Cependant, un expert en SEO peut facilement gagner beaucoup plus.
Le métier de consultant SEO vous tente ? N’hésitez pas à consulter nos pages sur le référencement web pour en savoir plus (ou nous rejoindre 🙂 ).
Le Machine Learning est une partie de l’Intelligence Artificielle (IA). Il offre aux systèmes la possibilité d’apprendre et de s’améliorer automatiquement à partir de leur expérience.
Le Machine Learning se concentre sur le développement de programmes informatiques pouvant accéder à des données. Il les utilisent ensuite pour s’améliorer.
Le processus d’apprentissage commence par des observations ou des données, telles que des exemples, une expérience directe ou des instructions. Ceci afin de rechercher des modèles (ou pattern) dans les données et de prendre de meilleures décisions dans le futur. L’objectif principal est de permettre aux ordinateurs d’apprendre automatiquement sans intervention humaine ni assistance et d’ajuster les actions en conséquence.
L’apprentissage automatique permet d’analyser d’énormes quantités de données. Bien qu’elle fournisse généralement des résultats plus rapides et plus précis afin d’identifier des opportunités rentables ou des risques dangereux. Elle peut également nécessiter du temps et des ressources supplémentaires pour se former correctement. L’apprentissage automatique, l’IA et les technologies modernes rendent plus efficace le traitement de gros volumes d’informations.
Un site internet doit son succès à son design, ses fonctionnalités, mais également à son contenu. En effet, si le contenu ne convient pas à l’internaute, celui-ci quittera la page aussitôt. De la même façon, Google recensera moins bien une page dont le contenu ne lui plaît pas. La rédaction web, également appelée écriture web, est là pour concilier les deux : plaire à l’internaute et plaire à Google.
Le mot rédaction web se compose de deux autres mots :
Le premier mot est rédaction et désigne le fait d’écrire un contenu quelconque. Dans le cadre professionnel, ce contenu doit contenir une grammaire et une orthographe irréprochables.
Le second mot est web et fait référence à l’ensemble des données reliées par des liens hypertextes sur internet. Aujourd’hui, par abus de langage, web désigne tout ce qui se rapproche à l’univers d’internet.
Pour faire court, la rédaction web est une rédaction dont le but est de se trouver sur internet. La rédaction se doit d’être de qualité, mais elle doit être rédigée de façon à maximiser son référencement.
La rédaction web concerne toute personne souhaitant publier du contenu à titre professionnel sur internet. En effet, le but premier de ces personnes est d’être lu. Si le contenu plaît aux lecteurs mais aussi à Google, alors le contenu se trouvera plus facilement sur internet.
Les principaux concernés sont donc :
À la question « Peut-on tous faire de la rédaction web ? », la réponse est « Oui ». Néanmoins, l’écriture web est le travail du rédacteur web. Il implique donc, comme tout métier, d’avoir les qualités et les compétences requises. C’est pourquoi beaucoup d’entreprises font appel à ces rédacteurs plutôt que de tenter eux-même la rédaction de contenus.
Il est impossible de définir tous les points permettant de réaliser une parfaite rédaction web. En effet, selon le sujet du contenu, le vocabulaire employé sera plus ou moins technique. De la même manière, les moteurs de recherche possèdent leurs propres algorithmes. Évidemment, ces algorithmes évoluent constamment et personne ne connaît leurs critères.
Il est donc très difficile de savoir ce qui plaît réellement aux lecteurs et aux moteurs de recherche. Cependant, certaines règles semblent fonctionner et les rédacteurs web ont tendances à les respecter pour réaliser la meilleure écriture web que possible.
En premier lieu, il est important de rédiger ce que l’on appelle un chapô / chapeau. Comme son nom l’indique, il se trouve au dessus de tout contenu. Il s’agit en fait d’un texte, généralement court et précédant le reste du contenu, ayant pour but d’encourager le lecteur à poursuivre sa lecture. Le chapô doit directement donner un aperçu de ce que l’internaute va découvrir s’il continue de lire. En plus d’aider le lecteur, le chapô permet d’utiliser les mots-clés dès le début, ce que les moteurs de recherche semblent aimer.
Ensuite, le rédacteur doit écrire des repères textuels tels que des titres et des sous-titres. Du côté informatique, cela se résume à l’emploi des balises <h1> à <h6>. Les moteurs de recherche aiment, et le lecteur peut directement aller là où il le souhaite.
De même, des paragraphes aérées et des phrases courtes aident à leur compréhension par un humain. Il peut également être intéressant de mettre en valeur certains mots-clés, en les mettant en gras par exemple.
Lorsqu’un internaute cherche du contenu, il passe souvent par le biais d’un moteur de recherche où il tape ses mots-clés. À partir de là, il a le choix entre d’innombrables sites web à lire. Il est donc important de le pousser à cliquer sur son article dès cet instant afin qu’il n’aille pas voir ailleurs. Pour ce faire, le titre doit être accrocheur (sans être un piège à clics), l’URL doit contenir le sujet de l’article et la méta description doit être renseignée et de qualité. En respectant ces étapes, l’internaute aura tendance à cliquer sur le lien.
À l’inverse du format papier où le lecteur ne fait que lire linéairement, celui-ci doit être guidé sur internet. En effet, lorsqu’un internaute termine la lecture d’un article, il quitte la page et par la même occasion le site. C’est pourquoi il peut être intéressant de le pousser à réaliser des actions, l’incitant par exemple à rester sur le site. Pour ce faire, il faut utiliser des liens internes qui vont rediriger l’internaute vers une autre page du site en lien avec l’article lu. Le lecteur appréciera d’être guidé, et les moteurs de recherche le remarqueront.
La rédaction web est un travail qui demande d’être à l’aise avec la langue utilisée et le monde d’internet. En alliant les deux, le positionnement du site sur les moteurs de recherche n’en sera que meilleur. Par la même occasion, les internautes trouveront alors du contenu correspondant sans doute mieux à leurs attentes dès les premiers résultats.
Les règles pour une bonne rédaction web étant multiples et évoluant constamment, l’Agence Lapostolle se charge de rédiger du contenu pour vous.
Google Images est un service en ligne permettant, comme son nom l’indique, de rechercher des images à partir de mots-clés. Son lancement date de juillet 2001.
Lors de la 42e cérémonie des Grammy Awards le 23 février 2000, une robe a énormément fait parler d’elle. En effet, la robe verte Versace que portait Jennifer Lopez durant cette cérémonie a reçu une très grande couverture médiatique. Néanmoins, les résultats Google la concernant n’aboutissaient pas à une recherche efficace, puisque le moteur ne recensait pas encore les images.
En 2001, Google Images indexait 250 millions d’images. En 2005, il y en avait 1 milliard contre 10 milliards en 2010. Ce nombre continue sans cesse d’augmenter.
Pour rechercher des images sur Google Images correspondant à certains mots-clés, rien de plus simple. En effet, il suffit de se rendre sur le site de Google Images, de taper les mots-clés et de choisir une image. Il est également possible de se rendre sur Google, de taper les mots-clés avant de cliquer sur « Images ».
Si les résultats ne sont pas assez précis, il existe plusieurs solutions. La première est de rajouter un mot-clé dans la recherche. La seconde est de simplement cliquer sur les mots-clés en dessous de la barre de recherche. Et pour finir, la barre d’outils permet de faire également des recherches plus précises.
Sur Google Images, il est donc possible de rechercher plus précisément une image à l’aide des outils à disposition. Pour y accéder, il suffit de cliquer sur le bouton « Outils ». présent en bas de la barre de recherche. Il y a alors différents outils mis à disposition :
Et pour une recherche encore plus précise… Il existe la Recherche d’images avancée Google !
À l’inverse, si on tombe sur une image dont on ne retrouve pas le nom, on peut faire une recherche inversée ! Cette action permet de rechercher les images similaires, les autres tailles de cette image ou les sites Web qui la contiennent.
Sur le site de Google Images, il suffit de cliquer sur l’icône en forme d’appareil photo pour accéder à cette fonctionnalité. Il est alors possible d’importer une photo ou d’y coller l’URL de la photo à rechercher.
Pour ajouter une image sur Google Images, il existe plusieurs solutions :
Si les historiques concernant Google vous intéressent, vous pouvez lire les articles que nous avons rédigé sur Google et Youtube.
Les Easter eggs sont des messages, des images, ou des fonctionnalités secrètes d’un programme. L’objectif est de s’amuser en ajoutant une petite astuce inutile mais amusante. Ces Easter Eggs sont partout : dans le cinéma, dans les jeux vidéos mais également dans le domaine de l’informatique. Ainsi, cet article recense les meilleurs Easter eggs du web.
Dinosaure dans Google Chrome. Cet Easter egg se cache seulement sur le navigateur Google Chrome. Lorsque vous perdez votre connexion internet, un message d’erreur et un mini-jeu apparaissent. Dans ce mini-jeu, vous prenez la possession d’un T-Rex dans un désert et vous devez esquiver des obstacles.
En tapant solitaire sur Google, le jeu du Solitaire s’affiche. Vous pouvez enfin lancer une partie, en mode Facile ou Difficile.
Le célèbre jeu du Morpion est également jouable face à un ordinateur en tapant le mot-clé tic-tac-toe. Comme le jeu original, le but est d’aligner trois symboles identiques.
Tout comme le Solitaire ou le Morpion, le plus célèbre jeu d’arcade est également jouable. En effet, Pac-Man se lance en entrant pac-man sur le moteur de recherche Google.
Souvent présenté comme étant relaxant, le Hand spinner fait son grand retour en tant qu’Easter egg sur Google ! De la même façon, un spinner de type roue de la fortune avec différentes valeurs est aussi présent. Il suffit de taper le mot-clé spinner pour y accéder.
Si vous entrez l’énigme Trouver Chuck Norris, la réponse s’affichera sous vos yeux en prenant une forme humoristique.
Un anagramme est un mot que l’on obtient en transposant les lettres d’un autre mot. À titre d’exemple, goyave est un anagramme du mot voyage. Néanmoins, connaissez-vous l’anagramme du mot anagramme ? Vous pouvez le découvrir en tapant ce mot sur Google.
La récursivité est le pouvoir de se répéter de manière indéfinie. Grâce au moteur de recherche, il est possible de tester ce mécanisme. En effet, il vous proposera alors de corriger l’orthographe du mot par récursivité, et ainsi de suite.
Google donne aussi la réponse à la question du Guide du voyageur galactique du Douglas Adams. Pour la connaître, tapez la phrase la réponse de la vie.
Vous aimez les mathématiques ? Par exemple les racines carrés, les valeurs absolues et les fonctions trigonométriques ? En tapant la formule ci-dessous sur Google, vous allez les aimer !
sqrt(cos(x))*cos(300x)+sqrt(abs(x))-0.7) *(4-x*x)^0.01, sqrt(6-x^2), -sqrt(6-x^2) from -4.5 to 4.5
Marre d’aller sur Youtube pour trouver et écouter le cri d’un animal ? Un Easter egg vous permet de les écouter directement en tapant cris des animaux.
Pour les amateurs de Mario, un Easter egg est présent sur la page de recherche principale de Super Mario Bros. Les blocs de l’univers de la licence ont pour habitude de laisser échapper des pièces en tapant dessus. Cependant, avez-vous déjà tenté de cliquer sur celle présente sur Google ?
La gravité impacte également Google ! En vous rendant sur cette page, tout le moteur de recherche s’effondrera sous vos yeux.
Il existe un trop grand nombre d’Easter eggs pour tous les recenser en un article. À vous de tous les trouver ! Par exemple, nous vous avions déjà cité le cas du Santa Tracker. Et à l’instar d’un œuf de Pâques, les autres se camouflent bien…
L’identité numérique est l’ensemble des traces numériques que l’on laisse sur internet. Au fil des navigations, les moteurs de recherche comme Google collectent et rendent publiques ces traces. Il est donc impératif de pouvoir évaluer sa propre identité numérique et de travailler dessus afin de la rendre meilleure. On appelle e-réputation l’image d’un individu renvoyée sur internet.
L’identité numérique se crée ainsi à partir des traces numériques laissées sur internet. En tout, il existe trois types de traces : les traces volontaires, les traces involontaires et les traces héritées.
Les traces volontaires sont toutes les données qui concernent un internaute qu’il a lui-même publié. Par exemple, le profil qu’a rempli un utilisateur sur les réseaux sociaux est une trace volontaire. Il en va de même pour tout type de commentaire qu’il aurait posté par le passé. Et cela comprend les blogs, les annonces (emploi ou vente) et les CV qui sont des exemples parmi tant d’autres.
En naviguant tout simplement sur internet, l’adresse IP permet d’identifier un ordinateur sur internet. Cependant, elle permet aussi de collecter d’autres données : heures de connexion, sites visités et temps passé, mots-clés des recherches, etc… On appelle cela des traces involontaires puisque l’internaute les crée sans s’en rendre compte.
Les cookies fonctionnent sur le même principe puisque l’ordinateur collecte et enregistre des données tout en naviguant sur internet. Ils possèdent néanmoins de nombreux usages. Premièrement, ils permettent de mémoriser les identifiants afin de rester connecter sur certains sites tels que les réseaux sociaux. Sur un site commercial, les cookies ont pour but de garder en mémoire le panier d’achat. Et les cookies permettent également de récupérer des données de navigation à des finalités statistiques ou publicitaires. C’est pour cette raison que les bannières publicitaires sur les sites correspondent souvent aux centres d’intérêt.
Les traces héritées sont toutes les données concernant un individu qu’il n’a pas lui-même publié. Ces traces regroupent ainsi toutes les publications (commentaires, photos, vidéos…) citant cet individu ou le faisant apparaître.
Après avoir mentionné les différentes traces numériques qui existent, il est temps de voir comment évaluer son identité numérique. Pour ce faire, il suffit de rechercher des informations sur soi (ou quelqu’un) à travers un moteur de recherche. Lorsque la recherche se fait depuis Google, cela s’appelle « googliser ». Afin de rendre l’investigation plus efficace, voici quatre recherches à effectuer et à analyser :
L’internaute qui fait ces quatre recherches sur lui possède à présent une estimation de son e-réputation. Elle représente ainsi l’image que renvoie internet sur lui. Si certaines informations ne doivent pas être sur internet, il peut tenter de les masquer ou de les supprimer. Mais est-ce vraiment utile de le faire ?
Il serait faux de penser que personne ne fera de recherches sur soi un jour ou l’autre. Il faut donc savoir qui serait susceptible de faire des recherches pour s’en protéger.
L’une des situations les plus fréquentes qui pousse quelqu’un à faire une recherche sur un individu est la recherche d’emploi. En effet, beaucoup de recruteurs n’hésitent pas à se renseigner sur les candidats. Chaque employé possède sa propre e-réputation qui joue à un certain niveau à construire l’image de l’entreprise. Pour les recruteurs, il est donc important de choisir des personnes qui ne nuiraient pas à cette image.
Toujours dans le milieu du travail, un patron pourrait lire des messages à son encontre sur les réseaux sociaux. Il pourrait même apprendre qu’un de ses employés en arrêt maladie fait plutôt la fête. Plutôt embarrassant, n’est-ce pas ?
Que ce soit pour les études ou pour rigoler entre amis, il peut arriver de se googliser par curiosité. Il faut donc vraiment se demander qui pourrait faire ces recherches, pourquoi, et quelles informations n’ont pas à être publiques.
À l’inverse, il existe de nombreuses personnes malveillantes qui n’hésiteront pas à chercher encore plus de détails. Ces informations sont très précieuses puisqu’elles peuvent permettre d’aller jusqu’à usurper une identité. D’autres pourront quant à elles servir à ternir une image dans le monde réel.
Comme démontré ci-dessus, ne pas prêter attention à son identité numérique peut être dangereux. Il faut donc apprendre à supprimer ou masquer les éléments indésirables, tout en gardant une identité numérique valorisante.
Parmi les informations faciles à masquer ou à supprimer, il y a les réseaux sociaux. En effet, après s’être connecté, l’utilisateur peut supprimer la donnée en question ou changer sa confidentialité. Si un moteur de recherche référence l’inscription à un site, l’utilisateur peut supprimer son compte ou modifier ses données.
Tandis que certaines données sont facilement effaçables, d’autres le sont beaucoup moins. Dans certains cas, les moteurs de recherche vont indexer des pages trouvables en tapant nom et prénom d’une personne. Néanmoins, la personne en question a le droit au déréférencement. Ce droit permet de demander à ne plus associer un contenu qui peut porter préjudice à un nom et prénom. Et dans le cas où une information n’est pas directement modifiable, la personne peut recourir au droit de rectification. En effet, chaque personne doit pouvoir demander à rectifier ou compléter des informations erronées la concernant.
Pour augmenter son e-réputation, supprimer ou masquer les informations portant préjudice est un bon début. Cependant, pourquoi ne pas tenter de faire plus ? Encore une fois, l’identité numérique représente l’image de quelqu’un sur internet et celle-ci est visible par tous. Il est donc intéressant de mettre en avant certains contenus, et de créer par exemple une identité numérique professionnelle.
Pour prouver son aisance avec l’informatique, il est à présent courant de créer son CV en ligne. Il est également intéressant de mettre en avant ses diverses réalisations numériques : blogs, sites, diaporamas ou portfolios. Ces éléments peuvent, à long terme, permettre de décrocher des contrats. La mise à jour de ces données témoigne du dynamisme de leur responsable.
Pour conclure, maîtriser son identité numérique est un travail sur le long terme. Il est important de réfléchir à ce que l’on publie sur internet, et de souvent réévaluer son e-réputation.
Il faut 20 ans pour construire une réputation et cinq minutes pour la détruire. Si vous gardez ça à l’esprit, vous vous comportez différemment.
Warren Buffett
Pour rester anonyme sur internet, l’usage d’un pseudonyme reste en tout cas la méthode incontournable. On conseille également de posséder des adresses e-mails différentes pour les différents usages que l’on en fait.
Il existe à ce jour diverses formations permettant de mieux utiliser l’informatique au quotidien. Pourquoi ne pas en faire partie ?