Tout d’abord, Adrian Lamo est un nom qui ne vous est peut-être pas familier, mais ses actes ont secoué l’industrie informatique. Et pas qu’un peu ! Adrian Lamo a acquis sa notoriété en piratant de grandes entreprises telles que Yahoo!, Microsoft et The New York Times. En outre, il a été directement impliqué dans l’affaire WikiLeaks en 2010.
Dans cet article, nous examinerons la vie et les exploits d’Adrian Lamo, et sa place dans l’histoire du piratage informatique.
Pour commencer, il est né le 20 février 1981 à Boston dans le Massachusetts. Dès son plus jeune âge, il a montré un grand intérêt pour la technologie. Ce qui l’a poussé à devenir un hacker. Il a commencé par pirater des réseaux d’universités et de grandes entreprises. Adrian Lamo a également acquis une certaine notoriété pour avoir piraté les réseaux informatiques de plusieurs sociétés de médias.
Comme précédemment mentionné, le hacker américain a piraté plusieurs grandes entreprises telles que Yahoo!, Microsoft et The New York Times. De plus, il a joué un rôle clé dans l’affaire WikiLeaks en 2010, en aidant le gouvernement américain à identifier le lanceur d’alerte, Bradley Manning. Alors, le pirate informatique controversé a également été impliqué dans des actes de vandalisme informatique, ce qui a finalement conduit à son arrestation et à sa condamnation.
Les exploits du hacker ont eu un impact significatif sur l’industrie informatique. Son piratage a exposé les vulnérabilités de la sécurité informatique de grandes entreprises, ce qui a poussé ces entreprises à améliorer leurs systèmes de sécurité. Il a également mis en lumière les risques de la divulgation d’informations confidentielles, ce qui a conduit à une prise de conscience accrue de la sécurité des données.
Certains le considèrent comme un héros de l’industrie informatique pour avoir exposé les failles de sécurité de grandes entreprises. Cependant, il reste un personnage controversé dans ce domaine. D’autres le considèrent comme un traître. Pour avoir aidé le gouvernement américain à identifier Bradley Manning et pour avoir collaboré avec les autorités.
Il restera dans l’histoire de l’industrie informatique comme un hacker controversé. Son piratage a exposé les vulnérabilités des systèmes informatiques des grandes entreprises. Ce qui a conduit à une amélioration de la sécurité des données. Cependant, sa collaboration avec les autorités a soulevé des questions sur les limites de la liberté d’expression et de la confidentialité de l’information. En fin de compte, l’histoire d’Adrian Lamo est un rappel de l’importance de la sécurité des données et de l’éthique dans le domaine de la technologie.
Le piratage Man-in-the-Middle (MITM) est une forme de piratage de sécurité informatique. Il vise à intercepter les communications entre deux parties. Il sert à voler des informations sensibles telles que des mots de passe, des informations bancaires et des données personnelles.
Le piratage « man-in-the-middle » (MitM) existe depuis l’apparition des premières communications réseau. Les premières formes de MitM ont été utilisées dans les années 1970 pour surveiller les communications militaires et diplomatiques. Mais avec le développement de l’Internet et de la technologie de l’information. Cette technique de piratage s’est étendue à tous les types de communications en ligne.
Le MITM est possible grâce à la mise en place d’un intermédiaire malveillant qui se place entre l’expéditeur et le destinataire d’un message. L’intermédiaire peut alors lire, modifier voire même bloquer les communications. Tout en faisant croire aux parties qu’elles communiquent directement entre elles. Alors que pas du tout ! Et avouons le, c’est effrayant ! Comment savoir que l’on se fait pirater alors qu’aucun indice n’est détectable au premier abord ?
Il existe plusieurs techniques utilisées pour réaliser un MitM. L’une des plus courantes est l’utilisation d’un réseau Wi-Fi public non sécurisé. Comme lorsque l’on mange dans un fast-food, il y a souvent un réseau gratuit et disponible à tous. Vous voyez de quoi il s’agit. À l’aide de ces réseaux, les pirates peuvent créer un point d’accès Wi-Fi malveillant qui ressemble à un réseau légitime. Et inciter les utilisateurs à se connecter à celui-ci. Une fois connecté, les pirates peuvent intercepter les communications et voler des informations sensibles. Alors, on ne sait pas vous, mais nous on ne se connecte plus au réseau gratuit !
Une autre technique courante est l’utilisation d’un logiciel malveillant sur l’ordinateur de la victime. Ce logiciel peut d’ailleurs s’installer via des techniques d’ingénierie sociale comme des courriels de phishing ou des téléchargements de logiciels malveillants. Une fois installé, le logiciel peut intercepter les communications en utilisant des techniques de « proxy » pour rediriger les données vers le pirate.
Il existe également des techniques plus avancées et complexes pour des amateurs. Par exemple il y a l’utilisation de certificats de sécurité falsifiés pour masquer l’interception des communications. Ces techniques ciblent souvent des entreprises ou des organisations, et servent pour espionner des activités commerciales ou gouvernementales.
Pour se protéger contre les attaques MITM, il est important d’utiliser des réseaux sécurisés lorsque cela est possible. Les réseaux Wi-Fi sécurisés utilisent des protocoles de sécurité tels que WPA2 pour chiffrer les communications. Ce qui rend difficile pour les pirates de les intercepter. Il est également important de ne pas se connecter à des réseaux Wi-Fi publics non sécurisés. Et de vérifier l’URL d’un site web pour vous assurer que vous vous connectez à une source légitime.
Il est également important de maintenir un bon niveau de sécurité sur votre ordinateur en utilisant un logiciel anti-virus. Et en étant vigilant lorsque vous ouvrez des courriels ou des téléchargements de logiciels.
Cet article, a pour but de vous présenter le métier de consultant SEO. Qu’est-ce qu’un consultant SEO ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire moyen ?
Posséder un site internet est déjà un très bon pas en avant dans sa communication. Toute entreprise (marchande ou non) se doit d’être présente sur internet afin d’exister.
Les moteurs de recherche, comme Google, référenceront rapidement votre site internet. Néanmoins, il y a de fortes chances que votre site soit classé dans des pages qui ne seront jamais consultées. Plus de 90% des utilisateurs s’arrêtent à la première page de résultats.
C’est ici qu’intervient le consultant SEO : il vous permet de monter rapidement dans les premiers résultats de Google. Cela vous facilite donc amplement la recherche de clients : ils viennent directement à vous.
Effectivement, le démarchage téléphonique, le porte-à-porte ou les prospectus sont des méthodes à proscrire. Les potentiels clients détestent être importunés, ils préfèrent faire une recherche par eux-mêmes, afin de gagner en confiance.
RTL et Bloctel, les conseils pour éviter les appels intempestifs
Le consultant SEO est à mi-chemin entre un expert en marketing et un expert en développement web. Il doit aussi avoir une petite fibre littéraire (ou tout du moins, ne pas faire de fautes en orthographe).
Google cherche à proposer du contenu de qualité dans ses premières pages de résultats, afin que l’utilisateur est une bonne expérience pendant sa navigation.
Voici que quelques exemples des 200 critères (minimum) que recherchent Google pour classer un site.
On estime qu’un expert en SEO connaît un maximum de 120 critères, les critères restants ne sont connus que par l’IA de Google. Cette dernière étant en constante évolution, le consultant SEO doit donc s’adapter et se remettre à niveau très régulièrement.
Le consultant SEO a donc pour mission d’optimiser votre site internet pour correspondre aux standards de Google. Ceci afin de proposer aux utilisateurs une bonne expérience sur internet. A l’opposé donc des démarchages intempestifs ou des sites internet illisibles.
Le consultant SEO est généralement en Freelance. En début de carrière, il peut ainsi gagner entre 1 600 et 2 100 euros par mois Cependant, un expert en SEO peut facilement gagner beaucoup plus.
Le métier de consultant SEO vous tente ? N’hésitez pas à consulter nos pages sur le référencement web pour en savoir plus (ou nous rejoindre 🙂 ).
Pas toujours facile de s’y retrouver quand on parle d’internet. Call to action, QR Code, SEO… Nous vous aidons à y voir plus clair et à comprendre le langage d’internet grâce à ce lexique du web.
Adwords: Régie publicitaire de Google, qui affiche des bannières publicitaires soit en fonction des mots clés demandés par l’utilisateur soit en fonction de son comportement de navigation. C’est pour cela qu’après avoir été voir un modèle de montre sur Amazon, vous allez avoir plusieurs de publicités en rapport qui vont s’afficher toute la journée.
Base de données: C’est un « conteneur ». Elle permet de stocker et de ressortir différentes informations qui possèdent un lien entre elles.
Call to action: En Français « Appel à l’action ». En effet le Call to Action qui peut prendre la forme d’un bouton, d’un lien, d’une image… incite l’utilisateur à cliquer et donc à effectuer une action sur le site. Par exemple: M’inscrire à la newsletter, ajouter au panier, profiter d’une offre…
Downloader: Tout simplement télécharger un fichier venant de l’extérieur, sur son ordinateur.
E-commerce: Un site e-commerce est un site qui permet de vendre en ligne. En effet, l’utilisateur peut composer un panier avec les différents articles disponibles sur le site et les payer via un paiement sécurisé.
Forum: Un forum est un espace d’échange entre internautes. Par exemple, il peut réunir différentes personnes autour d’une passion commune. En effet chaque utilisateur a accès aux messages du forum et a la capacité d’y répondre ou d’ajouter du contenu.
Géolocalisation: Ce sont les différentes techniques mises en place pour savoir où l’utilisateur se situe physiquement. Donc grâce à l’activation de votre GPS, il est possible de savoir précisément où vous vous trouvez.
Hashtag: Mot ou expression précédé du symbole #. Les hashtags sont utilisés dans les réseaux sociaux et permettent de réunir différentes publications autour d’un même centre d’intérêt.
Internet: Si vous ne devez en retenir qu’un c’est bien celui là ! En effet Internet est le réseau informatique mondial. Celui qui vous permet d’être en ligne, de pouvoir accéder aux moteurs de recherches, vos sites, votre messagerie…
JavaScript: C’est un langage de programmation qui permet la création de pages web dynamiques.
KPI: Tout d’abord il faut dire que KPI est l’acronyme de « Key Performance Indicator ». Outil marketing, il permet de rendre compte de l’efficacité d’une campagne, par exemple. Cela permet de mesurer le résultat d’une action mise en place.
Lien HyperTexte: Lien permettant de rediriger l’internaute vers une autre page internet. Par exemple, si vous cliquez sur ce lien, vous allez être redirigez sur notre page d’accueil. Si vous cliquez sur celui-ci sur le Wikipédia consacré aux fusées postales. (Oui, il a existé des fusées postales et oui il y a une page Wikipédia dessus…)
Moteur de recherche: Si nous devions vous citer un exemple ce serait bien sur Google. Un moteur de recherche est une page web contenant une barre de recherche. Vous devez saisir votre recherche dans celle-ci et des milliers de résultats vont s’afficher.
Nom de domaine: C’est tout simplement le nom de votre site internet. Pour l’Agence Lapostolle par exemple notre nom de domaine est: agence-lapostolle.com
Online: Tout simplement, qualifie toute chose accessible par internet.
Page web: Pour commencer une page web contient l’ensemble des informations d’un site internet visible sur votre écran. Un site internet est le plus souvent composés de plusieurs pages web
QR Code: C’est un code barre amélioré capable de stocker des milliers de caractères. Vous scannez le QR Code avec votre téléphone et une page web complète s’affiche sur votre écran.
Responsive design: Un site responsive design est tout simplement un site créé pour s’adapter à tout type d’écran (téléphone, télévision, tablette…). Ce qui rend votre lecture du site beaucoup plus confortable.
SEO: Search Engine Optimization ou aussi appelé référencement naturel, est l’ensemble des techniques utilisés pour que votre site soit le mieux référencé dans les moteurs de recherche. C’est à dire pour que votre site apparaisse dans les premiers résultats.
Taux de rebond: Le taux de rebond est le taux de visiteurs qui quittent votre site juste après avoir consulté la première page. C’est à dire que l’utilisateur n’a pas effectué d’action: cliquer sur un lien, ajouter au panier, s’inscrire à la newsletter… A savoir, le taux de rebond est pris en compte dans le référencement des sites internet.
Uploader: Nous avons vu plus haut downloader qui consiste à importer un fichier sur l’ordinateur. Uploader est l’exact contraire. Il s’agit donc d’envoyer un fichier depuis son ordinateur.
Virus: Logiciel malveillant (souvent caché dans un autre fichier) dont le but est de contaminer un maximum d’ordinateurs afin de soutirer des informations.
Webdesign: Il s’agit du design spécialement créé pour les sites internet. La personne en charge du webdesign dans une entreprise s’appelle de Webdesigner.
XHTML: Le XHTML est un langage de programmation créé dans les années 2000 qui utilise des balises. C’est l’évolution du HTML.
Zip: Format de compression de fichiers. Il permet de compresser des fichiers et de pouvoir de ce fait les envoyer plus simplement.
La première Agence Web a fait ses débuts dans les années 90. Celle-ci avait alors pour but de réaliser la conception d’un site web. Cependant au fil des années, les agences ont élargi leur champ de compétences.
Une Agence Web a pour mission de réaliser la conception, le développement et la gestion d’un site web. En effet, elle vous accompagne dans le choix du web design, de votre charte graphique afin d’affirmer votre image sur le web. Elle n’a pas comme seule fonction d’élaborer votre site, elle vous conseille et veille au bon fonctionnement du site web. Pour cela, elle prend donc en compte l’ergonomie, le design et le référencement.
Il existe différents métiers dans une Agence Web. Nous vous avons préparé une liste :
Tout d’abord une bonne Agence Web c’est celle qui pense à tous vos besoins. L’agence propose des solutions adaptées à vos besoins sans se préoccuper de ce qui est le plus rentable pour elle. Celle-ci va mettre en oeuvre toutes ses compétences et son savoir-faire afin de satisfaire le client.
De plus, en découvrant le site web d’une agence efficace, vous apercevez sa charte graphique, ses projets et son portfolio. Ce qui permet aux clients de découvrir toutes ses réalisations et d’avoir une idée de ce qu’elle peut offrir.
Enfin, ses certifications et ses compétences dans l’univers de la communication digitale assureront un travail de qualité.
Littéralement, le « Growth Hacking » signifie « piratage de croissance », cependant cela n’a rien à voir avec des techniques de malversation. Au contraire, il fait partie du marketing moderne en allant beaucoup plus loin. En rejetant la prospection agressive du marketing, il cherche à plaire aux clients avant de rechercher le bénéfice.
En 2010, son créateur, Sean Ellis, souhaitait mettre à profit ses compétences en informatique au service du marketing. Un bon « Growth Hacker » doit alors être compétent dans plusieurs domaines :
Le « Growth Hacking » est donc un ensemble de plusieurs techniques issues de différents univers, afin de mieux s’adapter à l’évolution d’internet.
Le « Growth Hacking » tourne autour d’un système de tunnel : la matrice AARRR. Celle-ci se décompose en 5 étapes :
Aucune de ces étapes ne doit être mise de côté, chacune est indispensable à la suivante.
Voici quelques exemples connus, vous pouvez vous en inspirer pour lancer une entreprise (ils ont tous commencé avec peu de budget) :
Ils ne vous restent plus qu’à vous lancer !