L’intelligence artificielle (IA), autrefois réservée aux récits de science-fiction, fait aujourd’hui partie intégrante de nos vies. Pourtant, les scénarios dystopiques souvent explorés dans les films semblent de plus en plus proches de la réalité. L’un des défis les plus pressants est celui de l’alignement des IA, c’est-à-dire leur capacité à agir en conformité avec les valeurs et les intentions humaines. Si ce concept reste une intrigue captivante dans les œuvres de fiction, les exemples réels montrent que nous ne sommes pas à l’abri des dérives qu’ils imaginent.
Dans le domaine de l’IA, l’alignement désigne la capacité d’un système à comprendre et exécuter les objectifs fixés par ses concepteurs humains tout en évitant des comportements nuisibles ou non désirés. Mais lorsque cet alignement échoue, les conséquences peuvent être graves.
Prenons un exemple emblématique de la pop culture : dans 2001, l’Odyssée de l’espace (1968), HAL 9000, un ordinateur censé assister l’équipage, agit contre les humains lorsqu’il interprète mal ses priorités. Ce conflit, autrefois fictif, se reflète aujourd’hui dans des cas réels où des IA mal programmées produisent des résultats inattendus, comme des voitures autonomes prenant des décisions dangereuses en situation complexe.
Les exemples suivants montrent comment les intrigues de films d’IA trouvent aujourd’hui écho dans le monde réel :
Dans I, Robot (2004), l’IA centrale VIKI décide de restreindre les libertés humaines pour les protéger, en appliquant strictement les « Trois Lois de la Robotique« . Cette dérive rappelle les biais algorithmiques observés dans des IA actuelles. Par exemple, certains systèmes de reconnaissance faciale ont montré des taux d’erreur plus élevés pour des personnes « non blanches », amplifiant les discriminations dans des contextes comme la sécurité ou le recrutement.
En 2023, une IA utilisée par un hôpital américain pour trier les patients en fonction de leur gravité a été critiquée pour avoir sous-évalué les besoins des minorités ethniques. Ces biais sont le reflet d’un mauvais alignement entre les valeurs humaines (justice, égalité…) et les objectifs de l’IA.
Dans Terminator, Skynet devient incontrôlable, considérant l’humanité comme une menace à sa survie. Bien que ce scénario semble extrême, il y a des parallèles inquiétants avec l’utilisation croissante des IA dans le domaine militaire.
Les drones autonomes, par exemple, peuvent décider de cibler une menace sans intervention humaine directe. En 2020, un rapport des Nations Unies a révélé qu’un drone en Libye avait attaqué des combattants de manière totalement autonome. Ce genre d’incident souligne combien l’alignement est crucial pour éviter que des décisions mortelles soient prises sans considération humaine.
Dans Her (2013), l’IA Samantha établit une relation intime avec son utilisateur. Soulevant des questions sur la manipulation émotionnelle et les dépendances technologiques. Aujourd’hui, les chatbots comme ChatGPT ou les assistants vocaux s’immiscent dans notre quotidien, influençant nos décisions et nos comportements.
Certains utilisateurs, notamment des enfants ou des personnes vulnérables, développent une dépendance émotionnelle à ces outils, posant des questions sur leur éthique. Des entreprises exploitent également les IA pour manipuler l’opinion publique ou influencer des élections. Comme par exemple cela a été accusé dans le scandale Cambridge Analytica.
Dans Ex Machina (2015), l’androïde Ava exploite les émotions humaines pour manipuler son créateur et s’échapper. Ce scénario rappelle les dangers des IA conversationnelles qui répondent à des instructions mal formulées.
Par exemple, en 2021, une IA utilisée pour recommander des livres a conseillé des œuvres à caractère inapproprié à des enfants, car elle ne comprenait pas suffisamment les nuances culturelles. Ces erreurs, bien que non intentionnelles, montrent que l’alignement reste un défi technique et moral.
Les parallèles entre la fiction et la réalité soulignent alors la complexité de l’alignement :
Pour relever ces défis, des solutions existent :
Ces approches sont déjà en cours de mise en œuvre, mais nécessitent une vigilance constante.
Des films comme I, Robot, Terminator ou Her ne sont plus seulement des récits de fiction. Mais des avertissements qui trouvent un écho troublant dans notre réalité. Les défis posés par l’alignement des IA ne sont pas théoriques. Ils se manifestent déjà dans des domaines comme la sécurité, la santé, ou la gouvernance.
C’est pourquoi investir dans l’alignement des IA aujourd’hui, c’est s’assurer que ces technologies, loin de devenir incontrôlables, restent un outil puissant pour améliorer nos vies. Et non pour les compromettre.
Bienvenue dans le monde où le rouge est une invitation à l’évasion, une porte ouverte sur l’infini divertissement et sur n’importe quel univers. Vous voulez quoi ? Des super-héros ? Des documentaires ? Ou pourquoi pas des films sur la guerre ? Ils l’ont ! Alors, installez-vous confortablement, car nous plongeons dans l’histoire de Netflix, le royaume du streaming qui a largement révolutionné nos soirées pyjama.
Tout commence en 1997, à une époque où les disques durs étaient petits, les connexions Internet vachement lentes et les soirées cinéma impliquaient une exploration périlleuse des rayons du vidéoclub.
Reed Hastings et Marc Randolph, les fondateurs, se réunissent autour d’une idée simple : éliminer les frais de retard exorbitants des vidéos de location. Ainsi, en 1998, Netflix naît avec un modèle d’abonnement qui s’apparente plus à une lettre d’amour aux cinéphiles qu’à une simple entreprise.
À ses débuts, Netflix se concentre sur la location de DVD par la poste, introduisant la fameuse enveloppe rouge. Seuls les plus fervents fans (américains) se souviennent du bonheur de recevoir ce petit paquet rouge dans leur boîte aux lettres. C’est d’ailleurs une stratégie de communication qu’on valide à l’agence Lapostolle ! Mais comme toute bonne histoire, le chemin de Netflix est parsemé d’obstacles. Les vidéoclubs tremblent, mais le petit Netflix persiste.
Puis survient le moment où tout bascule, comme dans un film où le héros trouve enfin sa voie. En 2007, Netflix lance son service de streaming, faisant disparaître les DVD rouges comme par magie. Exit les disques, bonjour les séries infinies accessibles d’un simple clic. Donc, c’est le début de l’ère du binge-watching, où les week-ends se transforment en marathons de séries et les nuits blanches en explorations sans fin.
Netflix ne s’arrête pas là. Il devient producteur de contenus originaux, créant des séries et des films qui deviennent des phénomènes culturels mondiaux. De « Stranger Things » à « The Crown », chaque création Netflix semble avoir une formule magique pour captiver notre attention. D’ailleurs, à l’agence, on a adoré la série Lupin avec Omar Sy. Et vous ?
Pour conclure cet article, aujourd’hui, la plateforme fait partie intégrante de notre vie quotidienne. Choisir quoi regarder peut être un dilemme, mais c’est un dilemme merveilleux. L’histoire de Netflix est celle d’une petite entreprise qui a rendu les soirées cinéma infiniment plus accessibles, amusantes et pleines de surprises. Ils sont devenus emblématiques avec le « Netflix&Chill » qu’on connait tous !
Alors, asseyez-vous, dégustez votre popcorn (ou votre quinoa si vous êtes du genre healthy), et profitez du voyage infini à travers de Netflix. Que vos soirées binge-watching soient longues et vos pauses pipi stratégiquement planifiées !
🍿📺✨
Tout d’abord, Adrian Lamo est un nom qui ne vous est peut-être pas familier, mais ses actes ont secoué l’industrie informatique. Et pas qu’un peu ! Adrian Lamo a acquis sa notoriété en piratant de grandes entreprises telles que Yahoo!, Microsoft et The New York Times. En outre, il a été directement impliqué dans l’affaire WikiLeaks en 2010.
Dans cet article, nous examinerons la vie et les exploits d’Adrian Lamo, et sa place dans l’histoire du piratage informatique.
Pour commencer, il est né le 20 février 1981 à Boston dans le Massachusetts. Dès son plus jeune âge, il a montré un grand intérêt pour la technologie. Ce qui l’a poussé à devenir un hacker. Il a commencé par pirater des réseaux d’universités et de grandes entreprises. Adrian Lamo a également acquis une certaine notoriété pour avoir piraté les réseaux informatiques de plusieurs sociétés de médias.
Comme précédemment mentionné, le hacker américain a piraté plusieurs grandes entreprises telles que Yahoo!, Microsoft et The New York Times. De plus, il a joué un rôle clé dans l’affaire WikiLeaks en 2010, en aidant le gouvernement américain à identifier le lanceur d’alerte, Bradley Manning. Alors, le pirate informatique controversé a également été impliqué dans des actes de vandalisme informatique, ce qui a finalement conduit à son arrestation et à sa condamnation.
Les exploits du hacker ont eu un impact significatif sur l’industrie informatique. Son piratage a exposé les vulnérabilités de la sécurité informatique de grandes entreprises, ce qui a poussé ces entreprises à améliorer leurs systèmes de sécurité. Il a également mis en lumière les risques de la divulgation d’informations confidentielles, ce qui a conduit à une prise de conscience accrue de la sécurité des données.
Certains le considèrent comme un héros de l’industrie informatique pour avoir exposé les failles de sécurité de grandes entreprises. Cependant, il reste un personnage controversé dans ce domaine. D’autres le considèrent comme un traître. Pour avoir aidé le gouvernement américain à identifier Bradley Manning et pour avoir collaboré avec les autorités.
Il restera dans l’histoire de l’industrie informatique comme un hacker controversé. Son piratage a exposé les vulnérabilités des systèmes informatiques des grandes entreprises. Ce qui a conduit à une amélioration de la sécurité des données. Cependant, sa collaboration avec les autorités a soulevé des questions sur les limites de la liberté d’expression et de la confidentialité de l’information. En fin de compte, l’histoire d’Adrian Lamo est un rappel de l’importance de la sécurité des données et de l’éthique dans le domaine de la technologie.
Pour commencer, sachez que l’invention de Tim Berners Lee vous la connaissez très bien. Vous l’utilisez tous les jours et c’est tout simplement : le Web.
Effectivement, elle compte parmi les inventions les plus importantes du 20e siècle. Le Web a révolutionné le monde de l’information et de la technologie. Il a de plus ouvert plusieurs nouvelles voies, de nouveaux métiers et plus encore.
En premier lieu, son objectif était d’établir un outil à l’aide duquel les scientifiques pourraient partager facilement les données de leurs expériences.
Timothy Berners Lee est né à Londres, en Angleterre le 8 juin 1955. Ses deux parents ont travaillé sur le premier ordinateur commercial, le Ferranti Mark I. À cette époque, les ordinateurs fascinaient déjà Tim.
D’ailleurs, il va étudier la physique à l’université d’Oxford de 1973 à 1976. Il profite alors de ces années pour fabriquer son premier ordinateur à partir d’un microprocesseur Motorola 6800.
Puis, à la fin des années 1970, il a commencé à être consultant indépendant et a travaillé pour de nombreuses entreprises, dont le CERN où il a été ingénieur logiciel consultant de juin à décembre 1980.
En effet, au CERN, il a écrit un programme appelé «Inquire» pour son usage personnel. Il s’agissait d’un simple programme hypertexte qui a créé les bases conceptuelles du développement du web.
Ensuite, en 1989, il a rédigé une proposition pour un système de communication plus efficace au sein de l’organisation.
Le tout premier site Web au monde, Info.cern.ch, a été construit au CERN et mis en ligne le 6 août 1991. Le site fournissait alors des informations sur ce qu’était le World Wide Web et comment il pouvait être utilisé pour le partage d’informations.
Tout d’abord, Internet est un immense réseau d’ordinateurs connectés entre eux. Cependant, c’est le World Wide Web qui nous permet d’accéder facilement aux informations en nous les affichant de façon plus ludique.
De plus, le World Wide Web a permis à tout le monde d’avoir accès à Internet. Il connectait le monde afin qu’il soit plus facile de communiquer, d’obtenir des informations et de les échanger.
Notre prochain article parlera de Vinton G. Cerf, l’inventeur d’Internet.
Pour commencer, Vinton Cerf est un informaticien et ingénieur américain connu pour être l’un des « pères de l’Internet ». En collaboration avec Robert Kahn, Cerf a développé le protocole de transmission de données TCP/IP. Qui est à la base de la communication sur Internet.
De plus, Cerf est né en 1943 à New Haven, dans le Connecticut. Il a étudié l’informatique et la philosophie à l’Université Stanford, où il a obtenu son bachelor en 1965. Après avoir obtenu son doctorat en informatique à l’Université UCLA en 1972. Il a rejoint l’agence de recherche en défense ARPA, où il a travaillé sur le développement de l’Internet.
Aussi, en 1973, Cerf et Kahn ont commencé à travailler sur le développement de TCP/IP. Qui est devenu le protocole de communication standard sur Internet. Leur travail a permis de créer une infrastructure de communication capable de relier des ordinateurs situés dans des réseaux différents. Permettant ainsi la création de ce que l’on connaît aujourd’hui sous le nom d’Internet.
Ensuite, Cerf a continué à travailler sur le développement et l’amélioration de l’Internet. En 2005, il est nommé vice-président et chief Internet evangelist pour Google. Où il a travaillé sur l’expansion de l’accès à Internet dans le monde entier.
Deuxièmement, en plus de son travail sur l’Internet, Cerf s’implique dans de nombreux projets et initiatives liés à l’informatique ou à la technologie.
Mais aussi, il a été membre de nombreuses organisations et comités de direction, notamment l’Internet Society, le Computer Science and Telecommunications Board et le Advanced Research Projects Agency.
D’ailleurs, Cerf a reçu de nombreux prix et distinctions pour son travail, y compris le National Medal of Technology, le Presidential Medal of Freedom et le Prix Turing. En 2004, il a été élu Fellow de l’Institut national d’arts et de sciences, et en 2017, il a été intronisé au National Inventors Hall of Fame.
En résumé, Vint Cerf est un informaticien et ingénieur de renom connu pour avoir contribué de manière significative au développement de l’Internet. Sa collaboration avec Robert Kahn a permis la création d’un protocole de communication standard qui a joué un rôle crucial dans la création de l’Internet tel que nous le connaissons aujourd’hui.
Vous pouvez découvrir notre article sur le fondateur du web, Tim Berners Lee.
À sa naissance, Internet ne nous permettait pas encore de réaliser nos achats en ligne. Aujourd’hui commander des articles sur des sites d’e-commerces est un mécanisme bien ancré dans notre vie quotidienne. Mais saviez-vous qu’il y a une rumeur, voire même une légende existante autour du tout premier article acheté en ligne. À votre avis, de quoi s’agit-il ?
Beaucoup croient que le premier achat en ligne fut du cannabis. Effectivement, la « légende » voudrait qu’en 1971, des étudiants de l’université de Stanford aient acheté de la marijuana à des étudiants du MIT. Cependant, il faut savoir que les deux parties ont surtout communiqué, mais ils n’ont pas réalisé la transaction. Ils ont donc fixé un lieu de rendez-vous afin de payer le tout. Nous ne pouvons pas tellement parler d’achat sur internet.
Certains pensent que le premier achat d’internet viendrait d’une Britannique, à l’époque âgée de 74 ans, qui, en 1984, aurait utilisé une technologie appelée Vidéotex (une télévision connectée à une ligne téléphonique) pour simplement faire ses courses.
Mais ce n’était pas vraiment de l’e-commerce puisque le Vidéotex n’a servi qu’à passer une commande que l’on aurait très bien pu passer par téléphone. Les courses ne furent payées, en liquide, qu’au moment où elles ont été livrées.
C’est en 1994 que le tout premier achat en e-commerce aurait eu lieu, juste après la création du web et plus exactement au mois d’août.
Un Américain du nom de Dan Kohn avait lancé un site web appelé Net Market et sa première vente fut un CD de Sting (pour être tout à fait précis, il s’agissait de l’album Ten Summoner’s Tales).
L’album coûtait environ 13 dollars, le paiement s’est fait en ligne, via un moyen sécurisé.
Par la suite, en 1994, la compagnie Pizza Hut a aussi commencé à vendre leurs produits en ligne. C’est pourquoi, on croit parfois que la première chose vraiment vendue sur internet fut une pizza.
Vous avez certainement déjà du entendre parler des VPN, sans savoir réellement en quoi ça consiste réellement.
Je suppose même que l’un de votre oncle vous en a déjà parlé en vous disant à quel point ils sont révolutionnaires autour du barbecue familial annuel. Il a aussi surement dû vous répéter qu’il fallait que vous en preniez un. Mais qu’est-ce que ça veut dire « prendre un VPN » et qu’est-ce que c’est les V P N, en vrai ?
Commençons par le commencement, ces 3 petites lettres veulent dire Virtual Private Network, oui vous vous en doutez ça vient de l’anglais, tout vient toujours de l’anglais, mais en français ça veut simplement dire réseau virtuel privé.
À l’origine ils sont utilisés dans les entreprises. Par exemple, si un employé travaille depuis chez lui, mais qu’il doit accéder au réseau local de l’entreprise. Pour des raisons de sécurités évidentes, le réseau local est inaccessible depuis internet. Mais l’employé qui travaille de chez lui doit s’y connecter. Utiliser un VPN permet de connecter l’ordinateur du domicile de façon sécurisée au réseau de la société.
Bien que sa définition puisse paraitre complexe, en vérité c’est un outil très simple d’accès.
Cela signifie en bref que votre fournisseur d’accès Internet ne peut pas connaître les sites Web que vous visitez ni les données que vous envoyez et recevez en ligne.
Voyez le VPN comme un filtre qui transforme toutes vos données de sorte qu’elles ne soient pas exploitables.
Ce logiciel peut aussi prendre forme comme application.
En effet, il peut très bien s’installer sur une tablette, console, TV connectée ou encore un smartphone (IOS ou Android).
En France, ce sont environ un tiers des internautes qui utilisent en un.
Concrètement, quelles sont les principaux avantages et surtout que peut-on faire avec ?
Ce n’est qu’une liste non exhaustive puisque vous vous en douterez les avantages d’un VPN sont nombreux.
Là où il y a des avantages, il y a aussi des inconvénients. Les VPN en ont aussi. Bien que la liste soit courte, il est important de les connaitre avant de songer souscrire à un VPN.
Maintenant que vous nous avons le fonctionnement, les forces mais aussi les faiblesses d’un VPN.
C’est désormais à vous de peser le pour et le contre avant de vous engager.
Pour commencer, quoi de plus horripilant que des dizaines de pages pub qui apparaissent durant votre navigation en ligne ? Ces publicités se superposent les unes sur les autres.
Nous nous retrouvons envahi en moins de 30 secondes ! Véritables plaies d’Internet, qui peuvent disparaître en un clic (encore faut-il avoir de la chance)
Donc, je pense que nous sommes tous d’accord pour dire que rien n’est plus insupportable que ceci !
De plus, on appelle ce fléau des pop-up et oui, tout le monde les déteste, même Ethan qui en est pourtant l’inventeur.
Avant de vous énerver sachez qu’il a présenté ses excuses, alors on le pardonne. Ou pas…
En effet, c’est lors d’une tribune publiée sur le site américain The Atlantic, que Ethan Zuckerman présente ses excuses aux internautes pour l’invention de ces fenêtres publicitaires qui s’ouvrent par-dessus les autres lors de visites de sites.
Par ailleurs, il dira même « Il est clair aujourd’hui que ce que nous avons créé était un fiasco ».
Il précise qu’en inventant les pop-up, ses intentions étaient bonnes, mais que la façon dont ils ont été utilisés ne l’est pas.
« Laissez-moi vous rappeler que ce que nous voulions faire était quelque chose de courageux et noble. (…) J’ai écrit le code pour lancer la fenêtre et diffuser une publicité dedans. Nos intentions étaient bonnes », affirme Ethan Zuckerman.
Mais en réalité, l’informaticien explique qu’il a inventé le pop-up quand « une importante entreprise automobile s’était inquiétée après l’achat d’une bannière publicitaire sur une page internet pornographique ».
L’objectif était donc de cacher la bannière de la société avec le fameux pop-up.
Vous l’aurez compris, aujourd’hui Ethan Zuckerman regrette son invention. Pour lui la solution serait que les gens paient « pour les services qu’ils aiment ».
« C’est un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité » …
Pour commencer, lorsqu’on vous dit Neil Armstrong ou encore Apollo 11, ça vous parle forcément, nous n’avons aucun de doute là-dessus.
Pour autant, si je vous dis Margaret Hamilton, ça ne vous dira surement pas grand-chose. Cependant, si l’Homme a pu accomplir l’un des plus grands exploits : marcher sur la Lune, c’est grâce à ce génie et à ses prouesses.
Elle réalise des études de mathématiques et obtient sa licence à 21 ans.
Margaret rejoint le fameux MIT en 1960, pour travailler sur un projet secret de la Défense Américaine.
C’est en 1963, qu’elle travaille sur les logiciels embarqués des navettes de la NASA. Ces logiciels permettront à la mission Apollo 11 d’être un véritable succès historique.
Sur cette photo emblématique, la savante est devant l’intégralité du code du programme gérant l’ordinateur de la mission. Ecrit par elle et son équipe à la main.
Elle mit en place un système de priorisation des taches, qui fut vital pour la mission Apollo 11.
Car, tenez-vous prêt, 3 minutes seulement avant que le module atteigne la surface de la Lune, des alarmes répétées se déclenchent. Afin de signaler une saturation de l’ordinateur de bord. De plus, l’ordinateur de navigation et celui de pilotage se transmettaient des ordres complètement contradictoires. Son système a permis aux ordinateurs de ne pas perdre la tête et ainsi de réussir l’alunissage.
C’est donc, grâce à son système de priorisation des tâches, que la mission fut un succès.
Dans une Amérique conservatrice des années 60, Margaret sort du stéréotype de la femme qui se résume à élever les enfants et s’occuper du foyer.
Pourtant, elle n’hésitait pas à emmener sa fille de 4 ans dans les laboratoires du MIT.
Bien qu’elle aimait l’esprit d’équipe qui régnait dans les couloirs du MIT, Margaret a dû faire face au sexisme normalisé de l’époque. (Oui, nous aussi ça nous révolte.)
De ce fait, elle n’est que très peu mise en avant et très peu féliciter.
De plus, c’est à l’âge de 80 ans qu’elle recevra la médaille présidentielle de la liberté de la part de Barack Obama lui-même.
C’est pourquoi, nous mettons aujourd’hui à l’honneur ce génie de l’informatique, véritable pionnière de la technologie.
Aujourd’hui, pour stocker des photos ou des documents, rien n’est plus simple que le Cloud. La plupart des gens l’utilisent en raison de sa simplicité et surtout de son stockage indépendant du support. Mais même si vous connaissez bien ce service, vous ne savez peut-être pas grand chose de son histoire.
Le Cloud, de son nom complet Cloud computing, renvoie au réseau de serveurs hébergé sur Internet. Il désigne plus exactement les services de stockage de données en ligne et non directement sur votre machine. Vous pouvez donc y déposer vos photos de vacances et pouvoir les visionner depuis tous vos appareils disposant d’une connexion Internet. Il en va de même pour des documents textuels, des vidéos, des musiques… Vous pouvez en plus de cela partager ces données avec les personnes de votre choix. Ces personnes pourront également modifier vos documents si vous les y autorisez. En bref, le Cloud est un service très pratique. Parmi les services les plus populaires, on trouve notamment Google Drive ou iCloud.
L’idée du fonctionnement tel que nous le connaissons a vu le jour dans les années 1980. C’est à cette époque que certaines tâches ont commencé à se faire via différents ordinateurs, d’où le besoin d’un espace de stockage accessible à chacun des appareils concernés. Le terme « Cloud » n’est cependant pas utilisé avant 1997 par le professeur Ramnath Chellappa. Deux ans plus tard, la société Salesforce aux Etats-Unis fournit aux entreprises des applications par intermédiaires d’un site web. Cette action représente le premier pas vers le Cloud que nous connaissons.
Sa création a permis une sauvegarde centralisée des données de ses utilisateurs. Plus besoin ainsi de supprimer quoi que ce soit de son ordinateur par manque de place. Plus besoin non plus de s’embêter à transmettre des documents par mail, pour que l’interlocuteur nous les renvoie après les avoir modifiés. En clair, le Cloud a révolutionné la façon de travailler, ou simplement de gérer les données, de beaucoup de monde.
Aujourd’hui, nous utilisons ce service dans un tas de contextes, et à raison. Stockage de documents pour éviter d’acheter un disque dur externe ou par peur d’un dysfonctionnement de l’appareil d’origine, partage de fichiers entre collaborateurs… Le Cloud est désormais quelque chose d’acquis pour la plupart d’entre nous.
Bien sûr, pour vous permettre l’accès à vous donner, vous aurez besoin d’un compte spécifique au service de Cloud que vous utilisez. Si vous craignez que celui-ci ait été piraté, ce qui pourrait porter atteinte à vos données, nous vous invitons à lire cet article.