Lorsque vous commencez pour la première fois une campagne de référencement, ou de webmarketing, vous vous retrouvez face à plusieurs acronymes : SEM, SEO, SEA, SMO… Il n’est pas simple de s’y retrouver dans ces différentes techniques proches mais cependant éloignées. Il y a un point commun dans ces techniques : SE, pour Search Engine ou Moteur de Recherche (Google, Bing, Qwant…) en français.
Le SEA est une technique pour amener des visiteurs sur votre site, via la publicité. Celles-ci peuvent être, par exemple :
Il existe ensuite différentes méthodes comme le CPC (Coût Par Clic, vous payez quand un visiteur arrive sur votre site) ou le CPM (Coût Pour Mille, vous payez tous les mille affichages de votre publicité). Puis chacune des méthodes fonctionne par un système d’enchère : plus vous payez par rapport à vos concurrents, plus votre site sera visible.
L’avantage du SEA est qu’il donne des résultats rapidement visible, mais si vous l’arrêtez, votre taux de visite va descendre en flèche.
Si le SEA peut se rapprocher du marketing traditionnel (cela ne reste que des publicités que l’on paie pour être visible), le SEO n’est dédié qu’à internet. Avec le SEO, nous recherchons à faire remonter votre site dans les premières pages des moteurs de recherche.
Comment cela fonctionne ? Difficile à dire sans être trop technique, mais c’est un ensemble de méthodes pour « plaire » à l’algorithme de google. En plus celui-ci évolue constamment… Il y aurait plus de 2000 critères ! On peut cependant en retenir quelques-uns:
Et oui, « spammer » un mot-clef sur une page (en blanc sur fond blanc…) ne fonctionne plus, bien au contraire, cela peut vous faire descendre !
L’avantage du SEO est qu’il est durable, une fois que vous êtes dans les premiers résultats, vous y restez. Cependant, cela peut prendre du temps en fonction de vos concurrents.
Encore trop souvent délaissé, le SMO est votre présence sur les réseaux sociaux. Attention, il ne suffit pas d’avoir une page Facebook et de la laisser à l’abandon : il faut aussi la rendre active, en postant régulièrement et en répondant aux messages. En moyenne, il est bon d’être présent sur deux réseaux sociaux avec une activité régulière.
Le SEM signifie, littéralement, le marketing sur les moteurs de recherche. Ce qui peut se simplifier par : le référencement. C’est donc le regroupement de toutes les autres techniques que nous venons de voir. Nous vous aidons à mettre en place vos campagnes de webmarketing, dans notre section dédiée.
Littéralement, le « Growth Hacking » signifie « piratage de croissance », cependant cela n’a rien à voir avec des techniques de malversation. Au contraire, il fait partie du marketing moderne en allant beaucoup plus loin. En rejetant la prospection agressive du marketing, il cherche à plaire aux clients avant de rechercher le bénéfice.
En 2010, son créateur, Sean Ellis, souhaitait mettre à profit ses compétences en informatique au service du marketing. Un bon « Growth Hacker » doit alors être compétent dans plusieurs domaines :
Le « Growth Hacking » est donc un ensemble de plusieurs techniques issues de différents univers, afin de mieux s’adapter à l’évolution d’internet.
Le « Growth Hacking » tourne autour d’un système de tunnel : la matrice AARRR. Celle-ci se décompose en 5 étapes :
Aucune de ces étapes ne doit être mise de côté, chacune est indispensable à la suivante.
Voici quelques exemples connus, vous pouvez vous en inspirer pour lancer une entreprise (ils ont tous commencé avec peu de budget) :
Ils ne vous restent plus qu’à vous lancer !
Un réseau social est un site internet qui permet à un utilisateur de créer une page « profil ». Il peut ainsi facilement partager des informations, photos ou vidéos avec les personnes de son choix.
Il existe différents types de réseaux sociaux :
Certains réseaux sont « multitâches ». Prenons l’exemple de Facebook. Il peut être utilisé à des fins privées, pour rester en contact avec ses amis et sa famille, comme à des fins professionnelles. En effet, selon le rapport « State of Inbound » de Hubspot : 74 % des utilisateurs Facebook l’utilisent à des fins professionnelles.
Le métier de Community Manager est né dans ce besoin qu’ont les entreprises de suivre ce progrès dans la communication. Le Community Manager est un véritable ambassadeur de la marque, il gère les réseaux sociaux de l’entreprise en ajoutant du contenu et en répondant aux différents commentaires ou messages. Par exemple, un utilisateur qui vient signaler sur le site l’achat d’un objet défectueux, obtiendra une réponse du Community Manager qui apportera une solution auprès du client et fera remonter les remarques auprès de la société.
Ce métier tout nouveau est de plus en plus répandu et continue à se développer.