Cet article, a pour but de vous présenter le métier de consultant SEO. Qu’est-ce qu’un consultant SEO ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire moyen ?
Posséder un site internet est déjà un très bon pas en avant dans sa communication. Toute entreprise (marchande ou non) se doit d’être présente sur internet afin d’exister.
Les moteurs de recherche, comme Google, référenceront rapidement votre site internet. Néanmoins, il y a de fortes chances que votre site soit classé dans des pages qui ne seront jamais consultées. Plus de 90% des utilisateurs s’arrêtent à la première page de résultats.
C’est ici qu’intervient le consultant SEO : il vous permet de monter rapidement dans les premiers résultats de Google. Cela vous facilite donc amplement la recherche de clients : ils viennent directement à vous.
Effectivement, le démarchage téléphonique, le porte-à-porte ou les prospectus sont des méthodes à proscrire. Les potentiels clients détestent être importunés, ils préfèrent faire une recherche par eux-mêmes, afin de gagner en confiance.
RTL et Bloctel, les conseils pour éviter les appels intempestifs
Le consultant SEO est à mi-chemin entre un expert en marketing et un expert en développement web. Il doit aussi avoir une petite fibre littéraire (ou tout du moins, ne pas faire de fautes en orthographe).
Google cherche à proposer du contenu de qualité dans ses premières pages de résultats, afin que l’utilisateur est une bonne expérience pendant sa navigation.
Voici que quelques exemples des 200 critères (minimum) que recherchent Google pour classer un site.
On estime qu’un expert en SEO connaît un maximum de 120 critères, les critères restants ne sont connus que par l’IA de Google. Cette dernière étant en constante évolution, le consultant SEO doit donc s’adapter et se remettre à niveau très régulièrement.
Le consultant SEO a donc pour mission d’optimiser votre site internet pour correspondre aux standards de Google. Ceci afin de proposer aux utilisateurs une bonne expérience sur internet. A l’opposé donc des démarchages intempestifs ou des sites internet illisibles.
Le consultant SEO est généralement en Freelance. En début de carrière, il peut ainsi gagner entre 1 600 et 2 100 euros par mois Cependant, un expert en SEO peut facilement gagner beaucoup plus.
Le métier de consultant SEO vous tente ? N’hésitez pas à consulter nos pages sur le référencement web pour en savoir plus (ou nous rejoindre 🙂 ).
Dans cet article, nous vous présentons le métier de développeur web. A quoi correspond le métier de développeur web ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ?
Le code est maintenant partout et en plus, il est facile de s’y former ! Il est accessible à tous, sans aucune connaissance préalable.
Autrefois externalisé, le développeur web est devenu un véritable métier stratégique dans les entreprises. Le Harvard Business Review explique que « les compétences en développement deviennent une clef de différenciation » pour elles. Les développeurs sont les personnes donc les plus recherchées du numérique : il en manque plus de 25 000 par an en France !
En plus d’être recherchés, le métier de développeur web est gratifiant : c’est grâce à vous qu’une entreprise peut proposer des innovations.
Quiconque contrôle le code, contrôle le monde !
Le métier de développeur web consiste à créer des sites internet, des applications ou encore des logiciels ! Il travaille généralement en équipe dans une agence web ou au sein même d’une entreprise.
Des développeurs sont d’ailleurs maintenant des personnalités connues et reconnues :
Le développeur est la personne qui conçoit, code et développe des projets numériques. C’est pour cela qu’il n’est pas :
En matière de développement web, il est bon de différencier deux types :
Un développeur web peut être spécialisé dans un langage de programmation ou un domaine. Il existe aussi des particularités comme développeur UI / UX (Interface Utilisateur et Expérience Utilisateur). Ce dernier réfléchit pour que l’utilisateur passe un bon moment sur un site ou une application web, en y naviguant naturellement.
Les déclinaisons en matière de développeur web sont infinies !
Un développeur junior (jeune diplômé) peut percevoir un salaire brut entre 25 000 euros et 40 000 euros (en fonction de sa maîtrise des langages de programmation), en France. Ces salaires peuvent être multipliés jusqu’à trois aux Etats-Unis ou au Canada.
Ce salaire peut rapidement doubler à partir de 5 ans d’expérience.
Le métier de développeur web vous tente ? Alors franchissez le pas, il existe forcément une école ou une formation dans votre ville.
En attendant, vous pouvez consulter notre article sur les langages de programmation web à connaître
Surtout : pourquoi Google n’aime pas bien référencer les sites Wix ?
La création d’un site internet pour son entreprise nécessite souvent l’installation d’un CMS (Content Management System).
Le choix d’un CMS se fait après une longue réflexion. Ceci afin d’éviter de se retrouver avec un site qui ne correspond pas à ses besoins. Wix est l’un des systèmes de gestion de contenu les plus faciles à utiliser dans le monde. Il est de plus « gratuit » dans un premier temps.
Malheureusement, il n’est pas le bon choix pour la création d’un site web professionnel.
Il permet de créer un site web sans disposer d’une connaissance technique. La création de ce CMS remonte à 2016, et à ses débuts, Wix avait beaucoup de soucis.
Aujourd’hui, il a connu de nombreuses modifications qui l’ont amené à un niveau relativement élevé. Wix permet à ce jour de créer des sites avec de beaux designs et leur offre peut sembler attractive. Surtout avec son matraquage de publicité sur internet.
C’est pour cette raison que de nombreuses personnes se tournent vers lui pour leur site internet. Mais les points positifs de Wix ne doivent pas faire oublier toutes les raisons qui en font un CMS non adapté à plusieurs besoins. C’est pour cela que nous vous le déconseillons !
Les sites créés avec lui sont difficiles à trouver sur internet, car Google ne les tient pas dans son cœur. En effet, Google se base sur la quantité et la qualité du contenu des sites, comme la présentation des titres. Wix ne permet pas une bonne organisation des titres.
Donc, si Google ne référence pas votre site, il est peu probable qu’il ait une grande visibilité.
D’un autre côté, puisque Wix ne permet pas l’ajout d’une grosse quantité de contenus (textes, photos…) sur les sites. Créer un blog professionnel destiné à recevoir beaucoup de textes est totalement exclu. Par ailleurs, créer un site de vente en ligne sur Wix est une mauvaise idée puisque la gestion de ce genre de site n’est pas bien prise en compte.
En effet, les actions telles que l’ajout de produits à un panier, la commande et le paiement ne sont pas correctement intégrés à ce système. De même, lorsque l’on veut créer un site multilingue, Wix n’est pas le bon choix.
Wix ne donne pas accès aux codes HTML/CSS. De plus, il ne permet pas d’associer une adresse e-mail à son nom de domaine.
Autre point important à retenir sur Wix : le responsive design n’est pas son ami. Ce qui bloque l’accès à votre site à plus de 60% des utilisateurs d’internet.
Les offres payantes permettent de palier certains de ces soucis. Mais dans ce cas il faut compter 80 à 120 euros par mois. Ceci ne permet cependant de résoudre que la moitié des soucis.
Vous devez donc éviter Wix pour votre site professionnel, à cause de toutes ces limitations. Il peut rester un bon choix pour un site personnel.
Cependant, sachez que si vous souhaitez transformer votre site personnel en site professionnel par la suite, il est difficilement possible d’exporter un site Wix vers un CMS plus professionnel.
Envie de partir sur de bonnes bases ? N’hésitez pas à nous contacter !
Vous souhaitez développer vos propres sites internet ? Mais vous ne savez pas par où commencer ? Vous souhaitez suivre une formation ou intégrer une école mais vous ne savez pas quels cours suivre ? Voici les 5 langages de programmation à connaître pour créer des sites modernes !
Créé en 1993, avec les premiers sites web, l’HyperText Markup Langage est alors la base de tout site internet. Sa structure simple en balises permet ainsi un apprentissage rapide tout en vous laissant de la liberté. Voici un exemple de code :
<html>
<head>
<title>Titre de la page</title>
</head>
<body>
<p>Voici le contenu de ma page !</p>
</body>
</html>
Tout ce qui est contenu dans les balises « html » permet d’afficher la page. Dans le « head », vous trouverez ainsi les informations qui ne sont pas nécessairement visible par le visiteur. Ensuite dans le « body », se trouve le contenu à afficher, ici une balise « p » pour créer un paragraphe.
L’apparition des balises « div » a ainsi permis une structuration par « blocs » beaucoup plus ergonomique et pratique.
La maîtrise des balises « div » permettent alors de répondre à une demande actuelle : le responsive design.
Les Cascading Style Sheets (créés en 1996) permettent d’embellir vos pages web facilement. Le CSS a ainsi causé l’abandon de l’attribut « style » dans le HTML qui n’était ni pratique ni progressiste.
Un exemple pour signifier que l’ensemble de mes paragraphes doivent être en rouge et justifiés :
p
{
color: red;
text-align: justify;
{
L’intérêt du CSS est qu’il vous permet de changer une donnée qui aura alors un impact sur tout votre code. Cela vous évite de devoir changer chaque instance et ainsi gagner du temps.
Des générateurs de code permettent aussi d’embellir vos sites rapidement.
Il est aussi possible de créer des animations grâce au CSS avec des sites comme TheAppGuruz.
Structurer un site complet grâce au HTML et au CSS tout en répondant au responsive design peut sembler complexe. Cependant Bootstrap permet plus de faciliter. Il est dorénavant indispensable de le maîtriser pour créer des sites modernes (ou tout autre framework s’en rapprochant).
Le JavaScript vous permet de créer plus de dynamisme dans vos pages web. Et ainsi créer des applications web originales.
Changer la couleur d’un texte en le survolant avec sa souris. Agrandir une image en cliquant dessus. Afficher des blocs en scrollant sur son site… Sont le genre de fonctions qui plaisent aux visiteurs, en rendant la navigation sur votre site unique.
Ce code permet par exemple d’afficher une popup demandant au visiteur de valider sa majorité :
if (confirm(‘Pour accéder à ce site vous devez être majeur.’))
{
alert(‘Vous allez être redirigé vers le site.’);
}
else {
alert(‘Désolé, revenez quand vous serez majeur !’);
}
Le site peut ensuite être généré en fonction de son choix. Par exemple, en ne donnant pas toutes les fonctionnalités d’un chat ou d’un forum aux mineurs.
Le PHP (Hypertext PreProcessor) est ce que l’on appelle un langage « serveur ». Cela signifie qu’il est traité en amont de l’ordinateur de l’utilisateur : sur le serveur du site internet. Cela permet plus de sécurité que les langages précédent mais surtout une plus grande liberté dans le « dynamisme ».
Par « dynamisme », nous n’entendons pas la même chose que le « dynamisme » du JavaScript. Ici il n’est pas question de changer les couleurs ou d’ajouter des effets visuels.
Le « dynamisme » du PHP repose sur un changement des informations en fonction de l’utilisateur. Les sites en PHP contiennent généralement un formulaire d’inscription. Celui-ci permet alors au site d’aller piocher ces informations dans une base de données.
Pour faire plus simple :
La majorité des sites actuels reposent sur du PHP : réseaux sociaux, e-commerce, moteurs de recherche…
Des bases peuvent être acquises sur des sites comme OpenClassroom. Cependant, le PHP nécessite de la pratique pour en connaître toutes les subtilités.
Le SQL est le dernier de nos 5 langages de programmation.
Le SQL est le langage qui va vous permettre de communiquer entre votre site en PHP et votre base de données en ligne.
Voici un exemple :
$bdd->exec(‘INSERT INTO utilisateurs(prenom, nom, age, email, mdp) VALUES(‘$prenom’, ‘$nom’, ‘$age’, ‘$email’, ‘$mdp’)’);
Cette requête vous permet d’insérer un nouvel utilisateur grâce à un formulaire précédemment rempli. Le mot de passe doit bien entendu être crypté avant l’enregistrement. Sinon vous pouvez briser les libertés de vos utilisateurs et de ne pas être conforme au RGPD !
En maîtrisant ces 5 langages de programmation, vous serez prêts à vous lancer dans la création de n’importe quel site internet !
Le Machine Learning est une partie de l’Intelligence Artificielle (IA). Il offre aux systèmes la possibilité d’apprendre et de s’améliorer automatiquement à partir de leur expérience.
Le Machine Learning se concentre sur le développement de programmes informatiques pouvant accéder à des données. Il les utilisent ensuite pour s’améliorer.
Le processus d’apprentissage commence par des observations ou des données, telles que des exemples, une expérience directe ou des instructions. Ceci afin de rechercher des modèles (ou pattern) dans les données et de prendre de meilleures décisions dans le futur. L’objectif principal est de permettre aux ordinateurs d’apprendre automatiquement sans intervention humaine ni assistance et d’ajuster les actions en conséquence.
L’apprentissage automatique permet d’analyser d’énormes quantités de données. Bien qu’elle fournisse généralement des résultats plus rapides et plus précis afin d’identifier des opportunités rentables ou des risques dangereux. Elle peut également nécessiter du temps et des ressources supplémentaires pour se former correctement. L’apprentissage automatique, l’IA et les technologies modernes rendent plus efficace le traitement de gros volumes d’informations.
Pas toujours facile de s’y retrouver quand on parle d’internet. Call to action, QR Code, SEO… Nous vous aidons à y voir plus clair et à comprendre le langage d’internet grâce à ce lexique du web.
Adwords: Régie publicitaire de Google, qui affiche des bannières publicitaires soit en fonction des mots clés demandés par l’utilisateur soit en fonction de son comportement de navigation. C’est pour cela qu’après avoir été voir un modèle de montre sur Amazon, vous allez avoir plusieurs de publicités en rapport qui vont s’afficher toute la journée.
Base de données: C’est un « conteneur ». Elle permet de stocker et de ressortir différentes informations qui possèdent un lien entre elles.
Call to action: En Français « Appel à l’action ». En effet le Call to Action qui peut prendre la forme d’un bouton, d’un lien, d’une image… incite l’utilisateur à cliquer et donc à effectuer une action sur le site. Par exemple: M’inscrire à la newsletter, ajouter au panier, profiter d’une offre…
Downloader: Tout simplement télécharger un fichier venant de l’extérieur, sur son ordinateur.
E-commerce: Un site e-commerce est un site qui permet de vendre en ligne. En effet, l’utilisateur peut composer un panier avec les différents articles disponibles sur le site et les payer via un paiement sécurisé.
Forum: Un forum est un espace d’échange entre internautes. Par exemple, il peut réunir différentes personnes autour d’une passion commune. En effet chaque utilisateur a accès aux messages du forum et a la capacité d’y répondre ou d’ajouter du contenu.
Géolocalisation: Ce sont les différentes techniques mises en place pour savoir où l’utilisateur se situe physiquement. Donc grâce à l’activation de votre GPS, il est possible de savoir précisément où vous vous trouvez.
Hashtag: Mot ou expression précédé du symbole #. Les hashtags sont utilisés dans les réseaux sociaux et permettent de réunir différentes publications autour d’un même centre d’intérêt.
Internet: Si vous ne devez en retenir qu’un c’est bien celui là ! En effet Internet est le réseau informatique mondial. Celui qui vous permet d’être en ligne, de pouvoir accéder aux moteurs de recherches, vos sites, votre messagerie…
JavaScript: C’est un langage de programmation qui permet la création de pages web dynamiques.
KPI: Tout d’abord il faut dire que KPI est l’acronyme de « Key Performance Indicator ». Outil marketing, il permet de rendre compte de l’efficacité d’une campagne, par exemple. Cela permet de mesurer le résultat d’une action mise en place.
Lien HyperTexte: Lien permettant de rediriger l’internaute vers une autre page internet. Par exemple, si vous cliquez sur ce lien, vous allez être redirigez sur notre page d’accueil. Si vous cliquez sur celui-ci sur le Wikipédia consacré aux fusées postales. (Oui, il a existé des fusées postales et oui il y a une page Wikipédia dessus…)
Moteur de recherche: Si nous devions vous citer un exemple ce serait bien sur Google. Un moteur de recherche est une page web contenant une barre de recherche. Vous devez saisir votre recherche dans celle-ci et des milliers de résultats vont s’afficher.
Nom de domaine: C’est tout simplement le nom de votre site internet. Pour l’Agence Lapostolle par exemple notre nom de domaine est: agence-lapostolle.com
Online: Tout simplement, qualifie toute chose accessible par internet.
Page web: Pour commencer une page web contient l’ensemble des informations d’un site internet visible sur votre écran. Un site internet est le plus souvent composés de plusieurs pages web
QR Code: C’est un code barre amélioré capable de stocker des milliers de caractères. Vous scannez le QR Code avec votre téléphone et une page web complète s’affiche sur votre écran.
Responsive design: Un site responsive design est tout simplement un site créé pour s’adapter à tout type d’écran (téléphone, télévision, tablette…). Ce qui rend votre lecture du site beaucoup plus confortable.
SEO: Search Engine Optimization ou aussi appelé référencement naturel, est l’ensemble des techniques utilisés pour que votre site soit le mieux référencé dans les moteurs de recherche. C’est à dire pour que votre site apparaisse dans les premiers résultats.
Taux de rebond: Le taux de rebond est le taux de visiteurs qui quittent votre site juste après avoir consulté la première page. C’est à dire que l’utilisateur n’a pas effectué d’action: cliquer sur un lien, ajouter au panier, s’inscrire à la newsletter… A savoir, le taux de rebond est pris en compte dans le référencement des sites internet.
Uploader: Nous avons vu plus haut downloader qui consiste à importer un fichier sur l’ordinateur. Uploader est l’exact contraire. Il s’agit donc d’envoyer un fichier depuis son ordinateur.
Virus: Logiciel malveillant (souvent caché dans un autre fichier) dont le but est de contaminer un maximum d’ordinateurs afin de soutirer des informations.
Webdesign: Il s’agit du design spécialement créé pour les sites internet. La personne en charge du webdesign dans une entreprise s’appelle de Webdesigner.
XHTML: Le XHTML est un langage de programmation créé dans les années 2000 qui utilise des balises. C’est l’évolution du HTML.
Zip: Format de compression de fichiers. Il permet de compresser des fichiers et de pouvoir de ce fait les envoyer plus simplement.
Les Easter eggs sont des messages, des images, ou des fonctionnalités secrètes d’un programme. L’objectif est de s’amuser en ajoutant une petite astuce inutile mais amusante. Ces Easter Eggs sont partout : dans le cinéma, dans les jeux vidéos mais également dans le domaine de l’informatique. Ainsi, cet article recense les meilleurs Easter eggs du web.
Dinosaure dans Google Chrome. Cet Easter egg se cache seulement sur le navigateur Google Chrome. Lorsque vous perdez votre connexion internet, un message d’erreur et un mini-jeu apparaissent. Dans ce mini-jeu, vous prenez la possession d’un T-Rex dans un désert et vous devez esquiver des obstacles.
En tapant solitaire sur Google, le jeu du Solitaire s’affiche. Vous pouvez enfin lancer une partie, en mode Facile ou Difficile.
Le célèbre jeu du Morpion est également jouable face à un ordinateur en tapant le mot-clé tic-tac-toe. Comme le jeu original, le but est d’aligner trois symboles identiques.
Tout comme le Solitaire ou le Morpion, le plus célèbre jeu d’arcade est également jouable. En effet, Pac-Man se lance en entrant pac-man sur le moteur de recherche Google.
Souvent présenté comme étant relaxant, le Hand spinner fait son grand retour en tant qu’Easter egg sur Google ! De la même façon, un spinner de type roue de la fortune avec différentes valeurs est aussi présent. Il suffit de taper le mot-clé spinner pour y accéder.
Si vous entrez l’énigme Trouver Chuck Norris, la réponse s’affichera sous vos yeux en prenant une forme humoristique.
Un anagramme est un mot que l’on obtient en transposant les lettres d’un autre mot. À titre d’exemple, goyave est un anagramme du mot voyage. Néanmoins, connaissez-vous l’anagramme du mot anagramme ? Vous pouvez le découvrir en tapant ce mot sur Google.
La récursivité est le pouvoir de se répéter de manière indéfinie. Grâce au moteur de recherche, il est possible de tester ce mécanisme. En effet, il vous proposera alors de corriger l’orthographe du mot par récursivité, et ainsi de suite.
Google donne aussi la réponse à la question du Guide du voyageur galactique du Douglas Adams. Pour la connaître, tapez la phrase la réponse de la vie.
Vous aimez les mathématiques ? Par exemple les racines carrés, les valeurs absolues et les fonctions trigonométriques ? En tapant la formule ci-dessous sur Google, vous allez les aimer !
sqrt(cos(x))*cos(300x)+sqrt(abs(x))-0.7) *(4-x*x)^0.01, sqrt(6-x^2), -sqrt(6-x^2) from -4.5 to 4.5
Marre d’aller sur Youtube pour trouver et écouter le cri d’un animal ? Un Easter egg vous permet de les écouter directement en tapant cris des animaux.
Pour les amateurs de Mario, un Easter egg est présent sur la page de recherche principale de Super Mario Bros. Les blocs de l’univers de la licence ont pour habitude de laisser échapper des pièces en tapant dessus. Cependant, avez-vous déjà tenté de cliquer sur celle présente sur Google ?
La gravité impacte également Google ! En vous rendant sur cette page, tout le moteur de recherche s’effondrera sous vos yeux.
Il existe un trop grand nombre d’Easter eggs pour tous les recenser en un article. À vous de tous les trouver ! Par exemple, nous vous avions déjà cité le cas du Santa Tracker. Et à l’instar d’un œuf de Pâques, les autres se camouflent bien…
L’identité numérique est l’ensemble des traces numériques que l’on laisse sur internet. Au fil des navigations, les moteurs de recherche comme Google collectent et rendent publiques ces traces. Il est donc impératif de pouvoir évaluer sa propre identité numérique et de travailler dessus afin de la rendre meilleure. On appelle e-réputation l’image d’un individu renvoyée sur internet.
L’identité numérique se crée ainsi à partir des traces numériques laissées sur internet. En tout, il existe trois types de traces : les traces volontaires, les traces involontaires et les traces héritées.
Les traces volontaires sont toutes les données qui concernent un internaute qu’il a lui-même publié. Par exemple, le profil qu’a rempli un utilisateur sur les réseaux sociaux est une trace volontaire. Il en va de même pour tout type de commentaire qu’il aurait posté par le passé. Et cela comprend les blogs, les annonces (emploi ou vente) et les CV qui sont des exemples parmi tant d’autres.
En naviguant tout simplement sur internet, l’adresse IP permet d’identifier un ordinateur sur internet. Cependant, elle permet aussi de collecter d’autres données : heures de connexion, sites visités et temps passé, mots-clés des recherches, etc… On appelle cela des traces involontaires puisque l’internaute les crée sans s’en rendre compte.
Les cookies fonctionnent sur le même principe puisque l’ordinateur collecte et enregistre des données tout en naviguant sur internet. Ils possèdent néanmoins de nombreux usages. Premièrement, ils permettent de mémoriser les identifiants afin de rester connecter sur certains sites tels que les réseaux sociaux. Sur un site commercial, les cookies ont pour but de garder en mémoire le panier d’achat. Et les cookies permettent également de récupérer des données de navigation à des finalités statistiques ou publicitaires. C’est pour cette raison que les bannières publicitaires sur les sites correspondent souvent aux centres d’intérêt.
Les traces héritées sont toutes les données concernant un individu qu’il n’a pas lui-même publié. Ces traces regroupent ainsi toutes les publications (commentaires, photos, vidéos…) citant cet individu ou le faisant apparaître.
Après avoir mentionné les différentes traces numériques qui existent, il est temps de voir comment évaluer son identité numérique. Pour ce faire, il suffit de rechercher des informations sur soi (ou quelqu’un) à travers un moteur de recherche. Lorsque la recherche se fait depuis Google, cela s’appelle « googliser ». Afin de rendre l’investigation plus efficace, voici quatre recherches à effectuer et à analyser :
L’internaute qui fait ces quatre recherches sur lui possède à présent une estimation de son e-réputation. Elle représente ainsi l’image que renvoie internet sur lui. Si certaines informations ne doivent pas être sur internet, il peut tenter de les masquer ou de les supprimer. Mais est-ce vraiment utile de le faire ?
Il serait faux de penser que personne ne fera de recherches sur soi un jour ou l’autre. Il faut donc savoir qui serait susceptible de faire des recherches pour s’en protéger.
L’une des situations les plus fréquentes qui pousse quelqu’un à faire une recherche sur un individu est la recherche d’emploi. En effet, beaucoup de recruteurs n’hésitent pas à se renseigner sur les candidats. Chaque employé possède sa propre e-réputation qui joue à un certain niveau à construire l’image de l’entreprise. Pour les recruteurs, il est donc important de choisir des personnes qui ne nuiraient pas à cette image.
Toujours dans le milieu du travail, un patron pourrait lire des messages à son encontre sur les réseaux sociaux. Il pourrait même apprendre qu’un de ses employés en arrêt maladie fait plutôt la fête. Plutôt embarrassant, n’est-ce pas ?
Que ce soit pour les études ou pour rigoler entre amis, il peut arriver de se googliser par curiosité. Il faut donc vraiment se demander qui pourrait faire ces recherches, pourquoi, et quelles informations n’ont pas à être publiques.
À l’inverse, il existe de nombreuses personnes malveillantes qui n’hésiteront pas à chercher encore plus de détails. Ces informations sont très précieuses puisqu’elles peuvent permettre d’aller jusqu’à usurper une identité. D’autres pourront quant à elles servir à ternir une image dans le monde réel.
Comme démontré ci-dessus, ne pas prêter attention à son identité numérique peut être dangereux. Il faut donc apprendre à supprimer ou masquer les éléments indésirables, tout en gardant une identité numérique valorisante.
Parmi les informations faciles à masquer ou à supprimer, il y a les réseaux sociaux. En effet, après s’être connecté, l’utilisateur peut supprimer la donnée en question ou changer sa confidentialité. Si un moteur de recherche référence l’inscription à un site, l’utilisateur peut supprimer son compte ou modifier ses données.
Tandis que certaines données sont facilement effaçables, d’autres le sont beaucoup moins. Dans certains cas, les moteurs de recherche vont indexer des pages trouvables en tapant nom et prénom d’une personne. Néanmoins, la personne en question a le droit au déréférencement. Ce droit permet de demander à ne plus associer un contenu qui peut porter préjudice à un nom et prénom. Et dans le cas où une information n’est pas directement modifiable, la personne peut recourir au droit de rectification. En effet, chaque personne doit pouvoir demander à rectifier ou compléter des informations erronées la concernant.
Pour augmenter son e-réputation, supprimer ou masquer les informations portant préjudice est un bon début. Cependant, pourquoi ne pas tenter de faire plus ? Encore une fois, l’identité numérique représente l’image de quelqu’un sur internet et celle-ci est visible par tous. Il est donc intéressant de mettre en avant certains contenus, et de créer par exemple une identité numérique professionnelle.
Pour prouver son aisance avec l’informatique, il est à présent courant de créer son CV en ligne. Il est également intéressant de mettre en avant ses diverses réalisations numériques : blogs, sites, diaporamas ou portfolios. Ces éléments peuvent, à long terme, permettre de décrocher des contrats. La mise à jour de ces données témoigne du dynamisme de leur responsable.
Pour conclure, maîtriser son identité numérique est un travail sur le long terme. Il est important de réfléchir à ce que l’on publie sur internet, et de souvent réévaluer son e-réputation.
Il faut 20 ans pour construire une réputation et cinq minutes pour la détruire. Si vous gardez ça à l’esprit, vous vous comportez différemment.
Warren Buffett
Pour rester anonyme sur internet, l’usage d’un pseudonyme reste en tout cas la méthode incontournable. On conseille également de posséder des adresses e-mails différentes pour les différents usages que l’on en fait.
Il existe à ce jour diverses formations permettant de mieux utiliser l’informatique au quotidien. Pourquoi ne pas en faire partie ?
La CNIL annonce le lancement d’une formation en ligne : « L’atelier RGPD ». Une formation gratuite et accessible à tous pour mieux comprendre et être opérationnel sur le Règlement Général sur la Protection des Données.
L’atelier RGPD vous forme en détail sur chaque aspect du RGPD. Afin de comprendre les lois et les enjeux pour débuter efficacement la mise en conformité de son organisme. La formation s’adresse aussi bien aux Délégués à la Protection des Données, qu’aux futurs délégués, professionnels disposant d’un profil technique ou juridique (ou encore de simples curieux).
Élaboré par des experts et juristes de la CNIL, ce MOOC se compose de quatre modules. Il faudra environ cinq heures pour tous les parcourir. Des vidéos, textes, illustrations… composent chaque module, afin de mieux appréhender les enjeux. Une évaluation est ensuite accessible à la fin de la formation.
Les différents modules de l’atelier RGPD abordent de manière exhaustive les enjeux du traitement des données personnelles. Voici le programme :
En fin de cursus, le MOOC délivre une attestation de suivi, mais il ne s’agit pas d’une formation diplômante ou certifiante. Cette formation est accessible gratuitement jusque septembre 2021, mais elle sera régulièrement mise à jour en fonction des évolutions du RGPD.
Besoin de plus d’informations concernant le Règlement Général sur la Protection des Données ? Ou bien encore d’informations concernant la sécurité sur internet ? N’hésitez pas à nous contacter.
Entreprendre au Féminin est un sommet qui se déroule du 8 au 16 mars 2019. Durant cette période, les intervenants aborderont trois grands thèmes : Business, Bien-être et Famille.
En effet, ce seront trois conférences qui auront lieu par jour (à 12h30, 18h00 et 21h00). Pour y avoir accès rien de plus facile !
En effet il suffit de vous inscrire sur le site d’Entreprendre au Féminin.
Ce sommet est accessible en ligne et gratuitement. Il est organisé par Madame Morgane Février, déjà à l’initiative de plusieurs mouvements de femmes entrepreneures.
Les principales raisons pour lesquels ce sommet a été crée sont au nombre de cinq. Il s’agit en effet de : rassembler, connecter, découvrir, apprendre et partager.
Tout d’abord Rassembler, car les femmes qui exercent des professions indépendantes sont souvent seules et il s’agit là de les réunir. Comme on dit : « l’union fait la force » !
Ensuite : Connecter. En exploitant les talents de chacun, permettre de créer une connexion qui, d’abord virtuelle, pourra déboucher sur quelque chose de concret.
Après : Découvrir. Découvrir les nouvelles façons de faire des femmes dans leur travail, dues, à l’évolution de leur métier.
Mais aussi Apprendre. Notamment grâce à internet, il est important de se former continuellement et d’acquérir de nouvelles connaissances.
Et enfin Partager. Partager son expérience, son histoire sa façon de faire avec la communauté. Profiter des expériences de chacune sans avoir peur du jugement et se sentir comprise et soutenue.
Ainsi les intervenantes aborderont plusieurs thèmes comme : « Comment concilier sa vie de maman et d’indépendante ». « Réussir dans l’entrepreneuriat en cultivant son bonheur »…
Si vous ne pouvez pas regarder une intervention pas de panique ! En effet, vous disposez d’un replay de 48h pour revoir votre conférence.
Les femmes entrepreneures sont donc la cible principale de ce sommet. On attend pas moins de 10 000 femmes entrepreneures ! Mais ces messieurs sont aussi les bienvenus.