Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur back-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.
Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur back-end est celui qui va travailler sur le fonctionnement interne du site. Il manipule donc les bases de données et le code du site. C’est finalement celui qui veille à ce que tout soit fonctionnel.
Ses missions sont donc les suivantes :
Ainsi, comme déjà mentionné, il veille au bon fonctionnement d’un site ou d’une application web. Son rôle est donc très important. Sans lui, tout ce que vous ne voyez pas en naviguant sur un site mais qui est pourtant indispensable ne serait pas là.
Le développeur back-end dispose d’une grande rigueur. En effet, il doit s’assurer que toutes les fonctionnalités prévues soient bien implémentées. Il doit aussi corriger toutes les erreurs qui peuvent interférer dans le fonctionnement de l’application. Il est également touche à tout en terme de langages de programmation.
En effet, ses compétences sont surtout techniques. Il doit maîtriser bon nombre de langages de programmation. Par exemple, PHP, Ruby, Python et SQL sont des langages souvent indispensables en développement back-end. Il est aussi important qu’il maîtrise certains frameworks comme Cake PHP ou Symfony.
Pour un développeur débutant, un salaire allant de 2000€ à 2200€/net par mois est envisageable. En évoluant, il pourra toucher entre 3000€ et 3200€/net par mois. Ces chiffres dépendent évidemment de l’entreprise et du statut du développeur (freelance ou non).
Ce métier vous intéresse ?
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Dans cet article, nous allons détailler le métier de développeur front-end. En quoi il consiste ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire ? Vous trouverez ici les réponses à ces questions.
Si vous ne connaissez pas ce terme, vous connaissez peut-être celui de développeur web. En fait, le développeur web se divise en deux branches : front-end et back-end. Le développeur front-end est celui qui va travailler sur le design d’un site web. C’est aussi pour cela qu’on peut confondre UX designer et développeur front-end.
Ses missions sont donc les suivantes :
Entre autres, il vérifiera également qu’un site soit bien responsive, donc pratique sur tout support. Il doit évidemment adapter son travail à celui de développeur back-end. L’important est que tout concorde à l’arrivée.
Comme pour tout métier qui touche au design, le développeur front-end est en premier lieu quelqu’un de créatif. Il sera en effet à l’origine de l’identité visuelle de l’entreprise via son site. Puisque le métier évolue vite, il faut aussi qu’il soit curieux et se renseigne sur les nouvelles normes et les nouvelles pratiques du métier. Il doit également faire preuve de rigueur. Cela lui sera nécessaire pour suivre à la lettre le cahier des charges.
Pour les aspects techniques, il doit au moins maîtriser les langages HTML et CSS. La maîtrise du PHP et JavaScript constituent un bonus non négligeable. Surtout si elle est couplée à des notions sur des frameworks tels que JQuery ou AngularJS.
Pour un développeur débutant, un salaire de 1900€/net par mois est envisageable. Un développeur plus expérimenté et plus ancien peut atteindre entre 2500 et 3000€/net par mois. Certains gagnent encore davantage, mais ce sont des cas plutôt rares. Ces chiffres peuvent varier, d’autant que beaucoup de développeurs front-end sont en freelance.
Ce métier vous intéresse ? Vous pouvez commencer à vous former sur les langages de programmation mentionnés plus haut. Un cursus supérieur en informatique peut aussi vous aider.
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L’ergonomie web est un des points clefs les plus importants en matière de navigation, mais aussi en terme de référencement. Google la prenant en compte notamment pour le positionnement sur les moteurs de recherche. Comment mettre en place les bonnes pratiques ?
Chaque jour, nous utilisons des objets qui facilite notre quotidien. L’ergonomie a pour objectif d’adapter ces objets à l’Homme. Depuis l’avènement des nouvelles technologies, cette discipline a dû s’adapter à Internet, notamment avec l’utilisation des sites web.
Désormais, elle s’inscrit dans le cadre de la création de sites web. En effet, lors de leur conception, il est essentiel de faciliter l’interaction entre l’homme et l’interface. Dans un premier temps du côté du créateur du site mais également des utilisateurs (les internautes) qui vont le consulter.
L’ergonomie web représente donc l’ensemble des aspects de l’interface en question permettant une utilisation efficace, agréable et facile. L’objectif de l’ergonomie web est tout simplement de faciliter l’interaction entre le site web et l’utilisateur.
L’ergonomie est une étape indispensable concernant le bon fonctionnement d’un site web. De plus, si les règles ergonomiques de bases ne sont pas respectées, alors le site web possèdera une mauvaise ergonomie car il ne répondra pas aux attentes des utilisateurs. Un site web se doit également d’être utile, afin de répondre aux besoins des utilisateurs. Néanmoins, cela ne suffit pas à rendre le site ergonomique. Par exemple, une fois l’utilisateur sur le site il est important qu’il trouve facilement ce qu’il recherche et ne quitte pas le site. On parle alors d’utilisabilité, elle se caractérise par l’aptitude d’un objet ou d’un site ici à être utilisé facilement par l’utilisateur.
Tout d’abord, il est important d’optimiser son site d’un point de vue technique. Il est recommandé de respecter dans un premier temps les règles universelles pour une ergonomie web optimale. Ensuite, les trois aspects qui peuvent améliorer directement l’ergonomie de votre site web sont : la vitesse de chargement, l’accessibilité et enfin le responsive.
La vitesse de chargement joue énormément sur l’utilisabilité d’une interface. Si un site web met du temps à charger, il a des chances de décourager facilement les internautes.
L’accessibilité permet elle aussi d’améliorer facilement un site web. Pour une bonne ergonomie, un site se doit d’être accessible sur un maximum de navigateurs. Il est important d’éviter le plus possible les bugs. Il est également nécessaire de concevoir des pages adaptées pour les personnes en situation de handicap.
Enfin, le responsive est le fait de concevoir un design de site adapté pour les téléphones mobiles et tablettes. De plus en plus de personnes naviguent sur internet à l’aide de leurs téléphones. Si votre site web n’est pas adapté pour les smartphones, alors vous risquez de passer à côté de potentiels clients.
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Aujourd’hui, beaucoup de questions trouvent leur réponse sur Wikipédia. Date de naissance d’un chanteur, filmographie d’un acteur, liste des découvertes d’un grand scientifique… Peu importe ce que vous cherchez, vous avez de grandes chances de le trouver sur cette plateforme. Mais comment le projet Wikipédia s’est-il formé ?
La plupart d’entre vous le savent déjà, mais il s’agit d’un site encyclopédique. Tout le monde peut y apporter sa contribution. Vous pouvez partager votre savoir en contribuant à un article sur lequel vous avez des connaissances ou en en créant un nouveau si le sujet que vous voulez aborder n’existe pas déjà. Vous pouvez aussi vous contenter de faire des recherches. Une étude réalisée par l’Université de Washington en 2010 montre en effet que 75% des étudiants interrogés déclarent se servir de l’encyclopédie pour des travaux de recherche ! Quoiqu’il en soit, beaucoup de gens utilisent aujourd’hui Wikipédia.
Wikipédia est lancée le 15 janvier 2001, même si l’idée émerge deux semaines plus tôt. Le projet a en fait pour but de soutenir Nupedia, un projet semblable géré par des experts et sous le contrôle d’un comité scientifique. Malgré un rédacteur en chef à plein de temps et un bon nombre d’éditeurs, la rédaction d’articles sur Nupedia est lente. C’est là que naît Wikipédia. Le projet donc se veut plus ouvert et complémentaire à Nupedia.
La plupart des contributeurs de Nupedia sont réticents à l’idée de l’associer à un site Internet sous la forme d’un wiki. C’est pour cela qu’à son lancement le 15 janvier 2001, Wikipédia possède son propre nom de domaine. Jimmy Wales, l’un des fondateurs du projet, teste alors le site via diverses publications. Vous pouvez d’ailleurs trouver la plus ancienne encore contenue sur le site juste ici.
Rapidement, le site grandit. L’année de son lancement, beaucoup de versions non-anglophones surgissent. Jimmy Wales annonce en 2002 qu’il n’intégrerait jamais de publicités à son projet. Peu après, wikipedia.com devient wikipedia.org. Et finalement, Nupedia ferme en septembre 2003, remplacée par Wikipédia.
Au fil du temps, les contributeurs publient de plus en plus d’articles. La barre des 6 millions est d’ailleurs passée en janvier 2020.
Avec le temps, la plateforme est de plus en plus considérée comme fiable, même si encore parfois rejetée dans le monde de l’enseignement.
D’autant plus que chaque page du site doit être correctement sourcée (sinon elle sera supprimée). Ce qui n’est pas forcément le cas de tous les sites internet…
Finalement, Wikipédia s’impose en tant que leader dans son domaine. Même s’il existe d’autres encyclopédies en ligne, c’est bien elle qui reste la grande première. Vous avez même sans doute remarqué que lorsque vous faites une recherche sur Internet, une page Wikipédia apparaît en première page. C’est grâce à son bon référencement et au trafic généré sur le site. Et sa croissance ne s’arrête pas là. En effet, la fondation a pour but de diversifier la communauté en conservant un taux de participation élevé.
En tout cas, nous pouvons affirmer avec certitude que l’encyclopédie Wikipédia n’est pas encore vouée à disparaître.
Si vous voulez en savoir plus sur le métier de développeur mobile, cet article est fait pour vous. Nous allons vous expliquer en quoi consiste le métier, quelles peuvent en être les missions, ainsi que le salaire.
Le développeur mobile est celui qui développe des applications pour téléphone, tablette et autres appareils mobiles. Il doit donc porter une grande attention à l’affichage de ces applications sur ces appareils. Il peut aussi se spécialiser dans le développement pour Android ou pour iOS par exemple. Les appareils mobiles étant de plus en plus utilisés, ce métier se fait une place d’autant plus importante.
Ses missions sont les suivantes :
De ce fait, il peut adapter un site Internet classique pour une version mobile. Il peut également créer une application mobile qui n’a pas de site web existant. Il pourra finalement développer des jeux vidéos (ou adapter les versions déjà existantes) pour mobile.
Il doit premièrement avoir une parfaite connaissance des normes en vigueurs et des interdits propres au mobile. Il a une bonne connaissance du front-end, est rigoureux et créatif et dispose d’une grande flexibilité.
Pour ce qui est des compétences techniques, le développeur mobile maîtrise plusieurs langages de programmation. Ils diffèrent selon s’il se spécialise en iOS ou en Android. Par exemple :
Ce ne sont toutefois pas les seuls systèmes existants. Généralement, pour les systèmes peu répandus, des API permettant de simplifier la programmation existent. Mais au cas où, le développeur web doit être capable de programmer dans le plus de langages possible.
Le salaire d’un développeur mobile débutant tourne autour de 2200€/net par mois. Il peut facilement être doublé en fin de carrière. Néanmoins, il n’évoluera sans doute pas progressivement. Tout dépend des missions qu’il réalisera au cours de sa carrière et de sa situation. En effet, un salaire peut changer drastiquement entre celui d’un développeur en freelance et celui d’un développeur qui travaille en agence ou en entreprise. La taille et la réputation de l’entreprise jouent aussi sur ce chiffre.
Ce métier vous intéresse ? Une formation en informatique vous sera nécessaire. En attendant, puisqu’il vous faudra maîtriser de nombreux langages, vous pouvez déjà vous renseigner sur ceux-ci.
Généralement, ce qu’on remarque en premier chez une application, c’est son logo. Si nous vous disons Twitter, il est probable que vous pensiez en premier à son logo. La plupart du temps, c’est un infographiste qui en est à l’origine.
L’infographiste est un acteur de la communication visuelle et de la production multimédia. Il est souvent sollicité en publicité, marketing, animation édition, presse, jeux vidéos… Il évolue donc dans de nombreux domaines. Mais il peut également se lancer en freelance et se dédier entièrement à un domaine précis.
Ses missions seront les suivantes :
Finalement, les missions d’un infographiste sont nombreuses et variées. Il devra gérer le processus graphique de A à Z et veiller à produire des résultats qui respectent l’identité visuelle de la marque. Il travaillera aussi bien sur un site web que sur une mise en page pour un jeu vidéo ou un CD par exemple.
Avant tout, l’infographiste a un goût prononcé pour le design et possède de bonnes aptitudes artistiques. Il est également rigoureux, puisqu’il devra suivre un cahier des charges précis. De plus, la créativité et un sens de l’innovation assez développés sont les bienvenus dans ce métier. Et dans l’idéal, un bon niveau en dessin.
L’infographiste doit maîtriser les outils adaptés. Il travaillera en effet souvent sur tablette graphique. Ainsi, il doit savoir maîtriser des logiciels comme Photoshop et Illustrator.
Un infographiste débutant touchera environ 1350€/net par mois. Il pourra atteindre 2500€/net par mois au fil du temps. Bien sûr, ces chiffres sont donnés à titre indicatif. En effet, un infographiste en freelance pourra décider de ses tarifs. Ils évolueront en fonction de son expérience, ses compétence et sa renommée dans le milieu.
Ce métier vous fait envie ? Alors n’hésitez plus. Et si vous voulez travailler dans le design mais que vous ne pensez pas avoir la fibre artistique requise, vous pouvez vous renseigner sur le métier d’UI designer.
Aujourd’hui, beaucoup de gens ont recours à un CMS pour leur site Internet. Parmi eux, WordPress est l’un des plus utilisés. En effet, 41,3% des sites dans le monde l’utilisent, et 64,8% des sites utilisant un CMS utilisent WordPress. Avec ses nombreuses fonctionnalités, de la création de contenu à la personnalisation du design ou même la possibilité d’ajouter des extensions, il s’avère en effet très pratique. Mais comment WordPress s’est-il imposé en tant que leader des CMS ?
Ce CMS trouve ses origines dans le logiciel b2 développé par Michel Valdrighi en 2001. Il s’agit à la base d’un logiciel de publication de blog open-source qui repose sur une base de données. Le développement du logiciel prendra ensuite fin en 2002 pour des raisons personnelles. C’est finalement en 2003 que Matthew Mullenweg et Mike Little reprennent b2 et l’améliorent. Ils renomment alors le projet WordPress.
Pour commencer, précisons que WordPress est gratuit. Il s’agit là d’un premier argument pour s’en servir. Son aspect pratique et simple à prendre en main attire aussi beaucoup. En plus de cela, il offre la possibilité d’ajouter des extensions. Parmi elles, nous trouvons notamment Yoast SEO, une extension d’aide au référencement. Elle pourrait donc intéresser quiconque veut de la visibilité pour son site. Le grand nombre de scripts mis à disposition du public le rend donc très attractif.
En résumé, WordPress permet aux utilisateurs avec peu de notions en programmation de trouver leur bonheur. Même si vous pourrez tirer le plein potentiel du CMS avec des capacités notamment en HTML ou en CSS.
S’il est de plus en plus utilisé, c’est aussi parce qu’il est souvent mis à jour et en évolution constante. Puisque les utilisateurs peuvent proposer des extensions, il y en a de nouvelles à disposition très régulièrement. En bref, vous avez de grandes chances de trouver ce qui vous convient sur WordPress.
WordPress est aujourd’hui le CMS le plus populaire, et ce, grâce à sa simplicité d’utilisation et à son grand nombre de fonctionnalités. La personnalisation, la possibilité de proposer ses propres extensions… Ce CMS a tout pour satisfaire ses utilisateurs. Si vous pensez avoir besoin d’aide pour vous y former, n’hésitez pas à nous contacter.
Dans cet article, nous allons vous présenter le métier d’UI designer. Si vous vous posez des questions à ce sujet, vous trouverez bon nombre de réponses ici. Compétences requises, missions courantes, salaire… Nous allons aborder chacun de ces points.
Pour ceux qui ne le savent pas, le terme UI désigne User Interface, donc « interface utilisateur » en français. En bref, un UI designer est celui qui a pour tâche de faciliter l’expérience de l’utilisateur vis-à-vis d’une application. De la disposition de l’écran aux interactions, en passant par le texte, les animations, les curseurs… Il se mettra dans la peau d’un utilisateur pour faire les choix les plus judicieux. C’est pourquoi il est primordial de faire appel à un UI designer pour que votre application soit la plus user-friendly possible.
Même si vous avez déjà pu vous en faire une idée, ses missions sont les suivantes :
La liste est bien sûr non exhaustive. En plus, il faut considérer que l’UI designer travaillera presque tout le temps avec un UX designer.
Un UI designer doit avant tout être créatif, innovant et avoir de très bonnes compétences en graphisme. De par son étroite collaboration avec l’UX designer, le travail en équipe ne doit pas lui faire peur. Il doit aussi savoir s’adapter et faire preuve de souplesse.
Pour ce qui est des aspects plus techniques, il faut maîtriser certains outils. Parmi eux, nous mentionnerons Photoshop, Illustrator et Adobe XD. En plus de ces outils, il doit avoir des connaissances notamment en HTML, JavaScript, CSS et PHP. Donc tous les langages de programmation qui auront un impact sur le design d’un site ou d’une application.
En France, un débutant touchera environ 1800€/net par mois. En progressant, il pourra atteindre 3000€/net par mois. Mais ces chiffres dépendent essentiellement de la taille et de la réputation de l’entreprise au sein de laquelle il travaille.
Le métier d’UI designer vous attire ? Vous pouvez commencer par vous auto-former aux logiciels et langages cités plus haut.
Et si ce n’est pas le cas, nous vous proposons un top 10 des métiers qui recrutent le plus en Picardie.
Les statistiques sur l’E-commerce ne vendent jamais du rêve, sauf quand cela parle de Noël ! Bien entendu, c’est la période la plus fructueuse pour les sites en ligne. Cependant, ces statistiques vont bien au-delà d’un simple « +X % de ventes ». Voici donc 5 statistiques impressionnantes sur cette période magique.
En novembre et décembre, les acheteurs utilisent internet pour se renseigner sur les tendances actuelles. Ils observent aussi les meilleurs prix et les offres du moment.
En France, durant ces deux mois, les ventes totales enregistrées dépassent les 20 milliards d’euros, uniquement sur internet !
Les vendeurs ayant un magasin physique ne sont pas en reste : environ un e-consommateur sur deux se rendra en magasin pour acheter un produit consulté en ligne. Il est donc indispensable pour une boutique physique de disposer d’un site internet (même basique) !
Même si elles débutent mi-Novembre, les ventes de Noël explosent dès le « Black Friday ». A partir de ce moment, les ventes ne font qu’augmenter jusqu’à atteindre un point culminant entre les 12 et 14 décembre. C’est à ce moment que les délais de livraisons sont toujours bons pour recevoir un cadeau à la date du 24 décembre.
Mais attention ! Croire que les visites s’arrêtent le 24 décembre est une erreur ! Les internautes consultent énormément les sites en ligne dès le 25 décembre pour trois raisons :
La majorité des achats de Noël sont tout naturellement des jouets avec 40% des ventes. Viennent ensuite les produits culturels (jeux video, albums de musique…) avec 35% des ventes. Viennent ensuite la mode et les cosmétiques.
Mais un grand avantage des sites E-commerce et que certains proposent des produits immatériels : jeux video, plateformes de streaming, e-book… Quel est l’intérêt principal : aucun de délai de livraison ! Vous réalisez votre achat et il est aussitôt disponible sur votre produit high-tech. Voir même sur celui de la personne a qui vous l’offrez ! Votre achat peut donc se faire le 24 décembre, voir même le jour même de Noël pour un oubli de dernière minute…
Les internautes changeant leurs habitudes de navigation, il est normal que les ventes suivent. De plus en plus de personnes n’utilisent plus d’ordinateur pour naviguer et réaliser leurs achats : leur smartphone suffit !
Il est donc indispensable pour un site E-commerce de proposer une expérience fluide et rapide pour les smartphones.
Le gros soucis des achats au dernier moment est qu’il faut attendre plusieurs minutes (ou heures) à la caisse du magasin. Les sites E-commerce n’ont pas ce soucis : ils vous livrent à domicile. Certains vous proposent même la livraison en un jour !
De plus, comme vu précédemment : les achats immatériels vous permettent une disponibilité immédiate.
Cet article, a pour but de vous présenter le métier de consultant SEO. Qu’est-ce qu’un consultant SEO ? Quelles sont ses missions ? Quel est son salaire moyen ?
Posséder un site internet est déjà un très bon pas en avant dans sa communication. Toute entreprise (marchande ou non) se doit d’être présente sur internet afin d’exister.
Les moteurs de recherche, comme Google, référenceront rapidement votre site internet. Néanmoins, il y a de fortes chances que votre site soit classé dans des pages qui ne seront jamais consultées. Plus de 90% des utilisateurs s’arrêtent à la première page de résultats.
C’est ici qu’intervient le consultant SEO : il vous permet de monter rapidement dans les premiers résultats de Google. Cela vous facilite donc amplement la recherche de clients : ils viennent directement à vous.
Effectivement, le démarchage téléphonique, le porte-à-porte ou les prospectus sont des méthodes à proscrire. Les potentiels clients détestent être importunés, ils préfèrent faire une recherche par eux-mêmes, afin de gagner en confiance.
RTL et Bloctel, les conseils pour éviter les appels intempestifs
Le consultant SEO est à mi-chemin entre un expert en marketing et un expert en développement web. Il doit aussi avoir une petite fibre littéraire (ou tout du moins, ne pas faire de fautes en orthographe).
Google cherche à proposer du contenu de qualité dans ses premières pages de résultats, afin que l’utilisateur est une bonne expérience pendant sa navigation.
Voici que quelques exemples des 200 critères (minimum) que recherchent Google pour classer un site.
On estime qu’un expert en SEO connaît un maximum de 120 critères, les critères restants ne sont connus que par l’IA de Google. Cette dernière étant en constante évolution, le consultant SEO doit donc s’adapter et se remettre à niveau très régulièrement.
Le consultant SEO a donc pour mission d’optimiser votre site internet pour correspondre aux standards de Google. Ceci afin de proposer aux utilisateurs une bonne expérience sur internet. A l’opposé donc des démarchages intempestifs ou des sites internet illisibles.
Le consultant SEO est généralement en Freelance. En début de carrière, il peut ainsi gagner entre 1 600 et 2 100 euros par mois Cependant, un expert en SEO peut facilement gagner beaucoup plus.
Le métier de consultant SEO vous tente ? N’hésitez pas à consulter nos pages sur le référencement web pour en savoir plus (ou nous rejoindre 🙂 ).